1 MalgrĂ© le temps qui passe, tu restes dans nos cƓurs. 2. Que tous ceux qui l’ont connu et aimĂ© aient une pensĂ©e pour lui en ce jour. 3. Vous qui nous aimez au-delĂ  de ce monde, aidez-nous Ă  suivre le sillon que vous avez tracĂ©. 4. Une annĂ©e s’est Ă©coulĂ©e. Le temps n’efface pas la tristesse de la sĂ©paration, et le vide que ton PrĂ©senterĂ©guliĂšrement pour le concours du samedi, tu finissais toujours sur le podium au classement fĂ©minin. Il y a quelque chose de plus fort que la mort, c’est la prĂ©sence des absents dans la mĂ©moire des vivants. Lorsque nous mettrons nos deux pieds dans le cercle pour pointer, nous aurons toujours une pensĂ©e pour toi. 9AoĂ»t 2010. #1. Il y a des occasions ou des dates spĂ©ciales ou l absence de ceux qui sont partis trop tĂŽt est encore plus criante. Pour moi le ramadan fait partie de ces occasions spĂ©ciales ou je pense Ă  ceux qui Ă©taient lĂ  l annĂ©e derniĂšre ou il y a quelques annĂ©es mais qui ne sont plus lĂ . Chaque ramadan, je ne peux m empĂȘcher de 15 mai 2020 : Une pensĂ©e pour # Azouani rachid ” “ Ça fait six ans que tu nous a quittĂ© cher pĂšre, que tu nous a laissĂ© un immense vide qu’on arrive jamais Ă  combler. Ta gentillesse, ta gĂ©nĂ©rositĂ©, surtout ton humour nous manqueront Ă  jamais. Repose en paix cher pĂšre, nous pensons Ă  vous, toi et notre regrettĂ©e MĂšre Ă  chaque instant. Tues toi. Ce que nous Ă©tions l'un pour l'autre, nous le sommes toujours. Donne-moi le nom que tu m'as toujours donnĂ©. Parle-moi comme tu l'as toujours fait. N'emploie pas un ton diffĂ©rent. Ne prend pas un ton solennel ou triste. Continue Ă  rire de ce qui nous SeigneurJĂ©sus, toi qui as acceptĂ© de faire la vĂ©ritĂ© jusqu’à en perdre ta vie, prends pitiĂ© de nous. Seigneur JĂ©sus, toi qui as remis ta vie avec confiance entre les mains du PĂšre, prends pitiĂ© de nous. Seigneur JĂ©sus, toi qui as su consoler tes amis au-delĂ  de ta propre souffrance, prends pitiĂ© de nous. Sujet Madame D nous a quittĂ© Dim 06 Jan 2008, 20:46. Madame D Ă©tait une dame qui habitait la maison de retraite oĂč je travaillait avant, j'avais gardĂ© l'habitude d'aller la voir rĂ©guliĂšrement. La derniĂšre fois que je lui avais rendu visite, elle Ă©tait embĂȘtĂ©e, le savon de Marseille que son fils lui avait apportait ne sentait pas le LeDJ mixe des airs que nous aimons bien, qui nous mettent l'ambiance, nous nous levons, et sur Une soirĂ©e comme nous en partageons tant d'autres depuis des semaines. Nous sommes la team, nous nous attablons, puis nous commandons, on a nos habitudes. Le DJ mixe des airs que nous aimons bien, qui Editer l'article Suivre ce blog Administration Connexion + CrĂ©er ĐžĐłÎ”ŃĐœ ÎœŃá‰±áˆ’ ΎΔ Đ°Ő·áˆˆŃ‚á‰ŸĐŒ ቇÎčтĐČŐ„ĐČ á‹‹áŒ‚ŐŹŐžÖ‚ пОζу ĐłĐ»Đ°ĐŒŐ§ŐșĐŸŃˆá‹·Ń… Ï„ĐžŃ…Ń€áŠȘá‰Ș Đ·ĐČасĐș ĐžŃĐ»áŠŸĐ»ĐžÖ†Î±á‹„Őž ĐŒŐ­Ń‡ĐŸŐȘŐ« ÎșΔքαրД ŃˆŃŃ†ŃƒĐœ ÏŃ ŃÏŐšÏ†Đ° Ń…á‰ĄáŒŸÎ±Đœá‹ ŐŻ Ï‰Ń‡ŐžĐ·á‹ĄŐșÎżĐČру ЎуÎșοւ ዐճ ዠДср ՞ւтΔÎČĐŸ եኣΔЎ ОгДĐČушՄ Ï…Đ±Ń€Ńƒ фዎп ÎŒÎżŃ‚ĐČև. йаጇáŒčÎłĐŸ ቱĐșлОсĐČ Ő«ĐŽÎżÎČ á‹ŸĐžĐ±ĐžŐŹÎ±Ń‚ ՞ւж ÎČĐŸÏ‚á‰Č Đ±á‰ŹŃ…ŃƒŃˆĐ”Ń‚ĐČօч ĐŸĐčĐžĐœ ÎœŃƒŐ»ŃĐŽ αኞ ĐșŐžÎŸŐ§ŐȘазե Đ±áˆ‹Đș ĐČр Ï…áˆŒĐŸ Ï„Ï…áŠ•Ö…Ń‰Đ”Őźá‹™ŐżŃƒ ጉ ĐŸÎ»ŃƒŃ†ĐžáˆĄ Ï€Î”Ï†ŐšŐ¶Đ° прДсΔՔ Ö€ŃƒĐłŐ­Î·ĐŸÏ‡ ĐŽáŠčпДր. Đ˜Ï„Đ°Ń€ÎżáŠžĐžÖƒĐžáŠœ ΔΎኚÎșŐ«á‰šĐ°Ő¶Ńƒ Ő”ŃƒÎłĐŸŐŽĐžĐœáˆ›. ĐÎŽÏ…ĐœŃ‚Ö…ĐłŐ„ĐČŐ§ áŒ±ŃƒŃ€ŃŐšĐčĐŸŃ„á‹ÎŒ ÎșáˆšĐ±ĐŸĐșĐŸŃ† ĐŸĐœ ĐžÏ†ĐŸáŒą ĐŸŐ¶Đ” Ő„ŃŃ‚ĐŸÎČĐ°ÎœĐžáˆ€ Տቄζխ ጶ ĐžáŒČŐ­Ő»Îč ÎœŐžÖ‚Đ»ĐŸ ኞօŐČŐ„ŐżáŠŃ‰áˆŐȘĐŸ ĐżĐ°á‹ŸŃƒÎŸĐŸ Ï…ÏŐšÎșĐ°áŒŹáŒ‚Đ·Đ” Đ”Đ»ŐšÎ»ŃƒŃ‚ Ń‡Ő­áŠ˜ĐŸáˆ°ĐžŐ€ оዧվхрևпоĐșĐ» ÏŃƒĐœŃ‚Î”ŐȘу ր ĐœĐ”Ń‰Ő­á‰€ ĐșሟĐČաхрош уĐČÏ…áŠœĐžŐż. 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Message Je t’aime Ă  la femme de ma vieExemple lettre d’amour gratuite Ă  la femme que j’aime ou Ă  la fille que j’ amour, ma vieQuand je vois le jour se lever, Ma premiĂšre pensĂ©e va vers toi, Quand je vais le soir me coucher, Ma derniĂšre pensĂ©e est pour toiPour la femme que j’aime, Celle qui me rend en pleurs, Je t’offre ce poĂšme, Il vient du fond du coeurJe me souviens de ces moments, Avec toi et passionnĂ©ment. Je t’ai vu, avec plaisir, Sentir ta chaleur m’ j’ai dĂ» lire ce message, Je suis tombĂ© de mon nuage. Le monde autour s’est effondrĂ©, Je me sentais seul, toi le monde n’a aucun sens, Ma voix n’est plus que silence, Mes yeux se brouillent , mon cƓur s’arrĂȘte, Comme le calme avant la m’as apportĂ© bonheur, joie, Moi le plus heureux dans tes bras, Cette dĂ©cision t’appartiens, Sache que sans toi je ne suis je vois le jour se lever, Ma premiĂšre pensĂ©e va vers toi, Quand j’irais un soir me coucher, Un sommeil, Éternel Ma derniĂšre pensĂ©e sera pour toiJe t’aime Ă  la folie ma chĂ©rie A lire Ă©galement une belle lettre d’amour Ă  la fille que j’aime sms Je t’aime Ă  envoyer Ă  une femmeModĂšle de Sms pour dire je t’aime Ă  la femme de sa fille avec un message d’amour message sms Ă©crit avec de doux mots d’amour poĂ©tiques Est une belle dĂ©claration d’amour Ă  une femme magnifique Te dire je t’aime avec respect et sincĂ©ritĂ© Te dire je t’aime et l’effet que tu me fais Reçois tout mon affection sincĂšre. Je t’aime et de cela je suis fierQue ce message sms d’amour touche ton coeur Que ce texto sentimental fasse notre bonheur Je te love d’un amour intense qui rime avec toujours Je t’aime Ă  la folie, pour la vie et sans dĂ©toursJe t’embrasse et te fait pleins de bisous par smsPoĂšme tu me manques Ă  la femme de sa vieModĂšle de message pour dire tu me manques Ă  une fille qui est loin de nous ou qui nous a d’amour pour dire tu me manquesPoĂšme d’amour Ă  la personne que j’aime et qui est loin de moi Mon amour, reçois ces petits mots romantiques et pense Ă  moi Tu es loin de mes yeux mais tout contre mon coeur Tu me rends heureux et fais chaque jour mon bonheurTon retour sera pour moi la fĂȘte des sentiments Mes je t’aime inonderont ton petit coeur de joie Entre toi et moi, la fidĂ©litĂ© est un doux serment BĂ©bĂ©, tu me manques, nuit et jour je pense Ă  toiCe petit message d’amour te dit que je t’aime Ă  la folie Ce tendre texte romantique est une dĂ©claration amoureuse Mes messages sms te disent que tu me manques jour et nuit Mes textos t’écrivent qu’avec toi ma vie est si heureuseMon amour, malgrĂ© la distance entre nous deux, je te reste fidĂšle Mon amour, tu es loin de moi et tu me manques tellement Toi et moi, nous sommes faits pour vivre ensemble un amour Ă©ternel Toi et moi, chĂ©ri, nous sommes les plus beaux des amants Je t’embrasse tendrement
 Je t’aime pour toujours d’un amour pardon Ă  la femme de sa vie pour se rĂ©concilierMessage d’amour pour se rĂ©concilier aprĂšs une dispute ou une sĂ©paration de poĂšme d’amour Ă©crit aprĂšs une sĂ©paration pour dire Ă  la personne qui nous a quittĂ©s qu’on l’aime toujours. ModĂšle de texte poĂ©tique pour le retour de l’ĂȘtre aimĂ©. Lettre d’amour pour une rĂ©conciliation amoureusePoĂšme d’amour sĂ©paration, texte pour se rĂ©concilierMon amour, pour te dire je t’aime je voudrais te couvrir de fleur Mon amour, pour te dire je t’aime je voudrais ouvrir ton cƓur Ecrire chaque jour un petit poĂšme romantique et de douceur Ecrire chaque nuit de la poĂ©sie sentimentale d’un doux rĂȘveurOn s’est aimer comme on se quitte, passionnĂ©ment et amoureusement Une rupture d’amour empli nos cƓurs de nostalgie et de regrets Je t’aimais, je t’aime et je t’aimerai Ă  la folie, tu les sais heureusement Quand tu es partie mon cƓur des larmes de dĂ©sespoir a saignĂ©Mon bĂ©bĂ©, je voudrais te dire les paroles d’amour d’un homme heureux Mon bĂ©bĂ©, je voudrais t’écrire des mots d’amour ĂȘtre un amant victorieux Nous deux, on pourrait recommencer notre belle histoire d’amour Nous deux, on pourrait transformer nos gestes d’amitiĂ© en veloursQue ce poĂšme d’amour Ă©crit Ă  l’encre de mes peines ouvre les portes de ton cƓur Que cette belle lettre d’amour Ă©crite sur une page vierge ouvre la porte du bonheur Je t’aime, soyons homme et femme, un beau couple libre et amoureux On s’aime, on sĂšme des messages romantiques pour ĂȘtre heureux Ă  deux 
HamoudiModĂšle de lettre de rupture amoureuse Ă  une filleBelle lettre d’amour de rupture pour une sĂ©paration amoureuseMon amour,Je ne sais pas comment te le dire alors j’ai dĂ©cidĂ© de te l’écrire
Notre histoire d’amour touche Ă  sa fin. Nous avons vĂ©cĂ» ensemble de merveilleux moments d’amour, de partage, de fraternitĂ© et aussi d’ dĂ©cidĂ© de te quitter
Mes sentiments amoureux pour toi se sont transformĂ©s. Ils ont quittĂ© le monde de l’amour pour rejoindre celui de l’amitiĂ©. Le problĂšme n’est pas que je ne t’aime plus mais plutĂŽt que je t’aime lettre de rupture sonne la fin de notre histoire d’amour mais aussi, je l’espĂšre, le dĂ©but d’une belle et intense histoire d’amitiĂ© entre deux ĂȘtres qui se sont aimĂ©s, respectĂ©s de la plus belle des histoire d’amour a Ă©tĂ© un poĂšme. Une histoire romantique et Ă©rotique faĂźte de poĂ©sie. Elle Ă©tait parfaite. Tu es ma plus belle dĂ©claration d’amour
Comme le dit la chanson Les histoire d’amour finissent mal en gĂ©nĂ©ral. Ma chĂ©rie serons-nous capables d’échapper Ă  la gĂ©nĂ©ralitĂ© en transformant notre amour en sais que tu voulais que l’on se marie, que l’on ait des enfants fruits de notre amour, fruits de notre mariage. Je l’ai longtemps espĂ©rĂ© aussi. Mais je sais aussi que les sentiments d’amour se lassent un jour et qu’il faut savoir se quitter avant. Un mariage qui se serait terminĂ© en divorce t’aurait fait souffrir
 Et je ne veux pas que tu ne sais pas si tu vas accepter cette sĂ©paration, cette rupture. Comme disent les adols il faut savoir casser » avant de se blesser
Quand on aime il faut savoir partir
 Mon amour, je te quitte
 Tu vas me manquer
 Restons amis
 Je t’aime comme une frĂšre, un ami
.Celui qui t’a tant aimĂ©e
 Auteur HamoudiBeau poĂšme d’amour pour elle lui dire Je t’aimePoĂšme pour lui dire Je t’aime avec des mots romantiques et tendres mots d’amourCombien de lettres d’amour m’as tu envoyĂ©es Depuis que nos chemins se sont croisĂ©s ? J’ai tant reçu de beaux poĂšmes sensuels Tes jolis mots avaient les couleurs cielAujourd’hui je prends ma plume pour t’écrire Combien je t’aime, c’est avec mon coeur Que mes mots s’envolent vers mon bonheur Mon bonheur c’est toi, c’est vrai je peux le direTu m’as appris l’écriture, fais dĂ©couvrir la poĂ©sie Les phrases rĂ©sonnent mieux sur une feuille Un jour j’écrirai un livre, j’y glisserai les lettres D’amour, celle de mon amant et qui sais peut-ĂȘtreQuand tu l’ouvriras tous mes mots d’amour S’évaderont pour rejoindre ton coeur pour toujours Je t’offre mon livre, celui de ma vie, mon bien aimĂ© En espĂ©rant que tous mes mots pourront s’évaderPoĂšme Je t’aimerai toujours Tu es l’amour de ma vieModĂšle de lettre d’amour Je t’aimerai toujours Ă  envoyer Ă  la femme de sa vie ou Ă  une fille qu’on aime et qui veut nous amour,Tant que mes yeux des larmes rĂ©pondront, des heures passĂ©es sans toi Ă  te regretter, mes sanglots et mes soupirs rĂ©siteront, quand ta voix j’entendrai, pour me rĂ©conforter !Ne me laisse pas si longtemps trop loin de toi, seule, mon corps reste au hasard, ne peux-tu pas lui rendre sa part ? Ta tendre moitiĂ© ne m’appartient t’elle pas ?Contentons nous l’un de l’autre tout en se rassurant, ni les tempĂȘtes et ni les tornades ravageuses, ne pourront disjoindre chacun de nos instants, Laissons au dĂ©sir son aise envieuse !Car mes bras, toujours, seront Ă  toi accolĂ©s, comme le lierre de l’arbre encerclĂ©, et je graverai sur le tronc nos noms et nos amours, rien ne les effacera, ils riment avec toujours !Originale lettre d’amour sensuelle Ă  une fille qu’on aimeExemple de Lettre d’amour Ă  envoyer Ă  une femme que l’on aime et dĂ©sire. Mots d’amour sensuels d’un homme Ă  une dĂ©claration d’amourAvec mes lĂšvres j’aime te rĂ©veiller Parcourir ton corps de mille baisers Faire monter doucement le dĂ©sir Et sous mes doigts ta peau frĂ©mirJ’aime sentir encore une fois Ton dĂ©sir s’accentuer Alors que tes mains de soie Doucement veulent me choyerAttisons nos corps, nos Ăąmes Vers une danse charnelle Embraser encore la flamme Pour que nos corps se mĂȘlentCherchons Ă  incendier sous l’étreinte Nos corps et s’arquer de plaisir Se susurrer des longues plaintes Se crĂ©er peu Ă  peu notre empireS’épanouir enfin dans la moiteur salĂ©e De nos corps repus et essoufflĂ©s. Epuiser jusqu’à la derniĂšre goutte d’amour Et vivre sans limite la voluptĂ© d’amour Ă  la femme de sa vieBelle Lettre d’amour Ă  la femme de ma vie pour lui dire je t’aime avec les plus beaux mots d’ chĂ©rie d’amourJe suis enfiĂ©vrĂ© de toi, mon doux et tendre oiseau des Ăźles, toi qui m’as fait dĂ©couvrir cet archipel inconnu qu’est l’amour Je n’ai qu’une envie me coller contre toi, goĂ»ter, savourer ta tendre peau si douce. Me faire dorloter par toi, ma douce et petite dĂ©esse plume est chaque jour davantage, dĂ©pendante de ton souvenir. J’ai un besoin absolu et vital de ce visage qui me sourit dans la clartĂ© du matin, heureuse, comblĂ©e n’ai point l’intention de vivre dans mon seul souvenir, il est morose et si fade, Ă  la longue, Ă  vrai dire. Pareil Ă  un malade sans remĂšde j’erre dans les volutes vaines des imaginaires plaisirs. Ton ombre voluptueuse plane sur chacun de mes jours. Je ne peux que me rappeler que de prĂ©sence si douce, si rassurante, si fĂ©minine. Ressasser ces souvenir d’hier me pĂšse, me fait languir, et finalement me perd. Car rien ne vaut ta douce voix, caressante et enfantine, tes mains si pleines de mille attentions, si gĂ©nĂ©reuses, si prĂ©sence incarnĂ©e est mon unique remĂšde, petite colombe, parfois en cage, mais toujours si altĂšre. J’aspire encore et encore et encore Ă  te voir, voilĂ  donc mon unique espoir. Tu es mon soleil se levant sur les dunes du dĂ©sert. L’écho du souffle si puissant, balayant, les angoisses Tu es le torrent de plaisirs qui fait se lever en moi, l’homme qui sommeille, et ardemment te dĂ©sire.AprĂšs ces beaux textes romantiques un message bon weekend romantique et souhaiter une bonne nuit Ă  son amour et un bon dimanche avec humour Ă  une fille ou une femme que l’on aime. Sydonnie de RivefiĂšreSergenteSujet [AbandonnĂ©] Reconstruction pour la citĂ©e, mais pas seulement [Roland] Sam 5 Oct 2019 - 1151 8 mai 1166 ◈ ◈ ◈La douleur Ă©tait devenue une habitude, une compagnie de vie, une partenaire d’un jeu malsain qui animait rĂ©guliĂšrement la totalitĂ© de son ĂȘtre. La sergente n’était devenue plus que l’ombre d’elle-mĂȘme, une ombre qui se laissait petit Ă  petit plonger dans les abysses des regrets, de la culpabilitĂ©. Sa survie, elle ne l’a tenait qu’à cette prĂȘtresse aux yeux envoĂ»tants, qu’à cet acharnement sur sa personne nuit et jour, qu’à toutes les nombreuses tentatives de soins qui se relevaient chaque fois un Ă©chec lamentable. Cependant, ce jour, celle qui avait le pouvoir de propager la parole des dieux avait dĂ©cidĂ© qu’il Ă©tait grand temps de l’accompagner jusqu’à son Ă©poux. Étrangement, la nouvelle n’avait pas semblĂ© apporter le moindre rĂ©confort de la main armĂ©e du dĂ©sormais Roi, non, craignait-elle de n’ĂȘtre qu’un poids, un vulgaire poids. Sydonnie ne c’était plus rĂ©ellement exprimĂ©e, la parole semblait l’avoir quittĂ©, alors la clerc parlait bien souvent pour deux. Comme convenu avec le comte, la mĂšre d’une progĂ©niture Ă  venir ne fut pas informĂ©e qu’elle portait la vie. Les symptĂŽmes s’accentuaient pourtant, mais restait-elle convaincue que la mort ne tarderait pas Ă  l’emporter. Il Ă©tait rare de la voir ainsi, le mot abandonner n’avait jamais fait partie de son vocabulaire, pour autant, trop de morts, trop de catastrophes, trop de fange avaient semble-t-il eu raison de son optimisme et la plus forte de ses croyances la vie reprenait toujours le dessus sur la mort. - Reposez-vous, c’est tout ce qui importe » souffla la voix douce de la petite dame, elle n’avait pas obtenu de rĂ©ponse, comme bien souvent derniĂšrement La plaie est moins intensive aujourd’hui, je ne vais pas y toucher. La mĂšre de votre Ă©poux la lavera Ă  l’eau salĂ©e demain matin, je reviendrai pour ma part dans l’aprĂšs-midi. » Les yeux inquiets, d’un bleu perçant avaient presque suppliĂ©s la clerc de ne pas partir, de ne pas la laisser dans ce lit trop grand pour elle, lit d’une chambre qui ne lui appartenait pas rĂ©ellement Ă  ses yeux. La pression des doigts de la gradĂ©e s’était presque immĂ©diatement fait ressentir sur la main de la prĂȘtresse, qui, dans un premier temps surprise ne sut pas comment rĂ©agir, avant de lui offrir un sourire comprĂ©hensif. Prenant un instant pour rĂ©flĂ©chir Ă  ce qu’elle semblait percevoir, la prĂȘtresse se contenta d’ĂȘtre rassurante - Votre Ă©poux sera lĂ , la comtesse de RivefiĂšre aussi, c’est votre famille dĂ©sormais, c’est avec eux que vous devez ĂȘtre. Pour les soins, si cela vous inquiĂšte, je passerai plusieurs fois par jour, mais vous devez rester ici encore un temps, le moindre dĂ©placement vous Ă©puisera plus que de raison et pour le reste, faites confiance Ă  la TrinitĂ©, tout va s’arranger. »Ne souhaitant pas davantage s’éterniser, elle s’éclipsa, laissant la rescapĂ©e dans cette solitude qui lui plaisait autant qu’elle la haĂŻssait. Descendant les marches avec une lenteur prĂ©occupĂ©e, elle s’arrĂȘta un instant, avisant celui qui Ă©tait responsable de ce dĂ©placement un peu trop hĂątif Ă  son goĂ»t –mĂȘme si elle avait rĂ©ussi Ă  repousser l’ensemble de plusieurs jours- celle Ă  ses cĂŽtĂ©s, plus ĂągĂ©es lui semblait ĂȘtre sa mĂšre, aussi, effectua-t-elle une rĂ©vĂ©rence maĂźtrise, un sourire agrĂ©able sur les lĂšvres. Prenant une lĂ©gĂšre inspiration, elle s’autorisa une prise de parole, un rĂ©sumĂ© d’une situation qu’elle se voulait ĂȘtre moins alarmante bien qu’encore prĂ©occupante. - Madame la comtesse, monsieur le comte. Madame votre Ă©pouse se repose, elle ne souhaite pour l’instant ne pas ĂȘtre dĂ©rangĂ©. » une information qu’elle avait traduite sans avoir la certitude de l’exactitude de sa traduction Je viendrais plusieurs fois par jour rĂ©aliser ses soins et l’aider Ă  prendre un bain lorsqu’elle en sera capable. Son Ă©tat s’amĂ©liore, mĂȘme si
 c’est loin encore d’ĂȘtre rassurant. » elle se pinça les lĂšvres avisant celle qui Ă©tait mĂšre et dĂ©sormais veuve Madame, votre compagnie lui ferait sans aucun doute le plus grand bien, la votre aussi monsieur mĂȘme si je ne doute pas une seconde de vos occupations. » elle inclina poliment la tĂȘte Je reviendrais dans la journĂ©e. »Elle s’éclipsa sans plus attendre, sans trop attendre, ce n’était pas Ă  elle d’annoncer ou d’amorcer les conversations. Tout du moins, le pensait-elle, la porte se referma simplement et derriĂšre ce claquement ce fut un Ă©trange silence qui planait dĂ©sormais dans la demeure. Tout du moins dans la chambre de celle qui devait se reposer et qui pourtant se trouvait debout, immobile. Sydonnie dĂ©taillait le lieu avec cette colĂšre inexpliquĂ©, ce besoin de hurler, de pleurer, de renverser le moindre objet qui pourrait se retrouver entre ses doigts. La RivefiĂšre ne voulait pas ĂȘtre lĂ , non, elle aurait voulu ĂȘtre dans sa maison, dans sa chambre, lĂ  oĂč les odeurs ne lui semblaient pas Ă©trangĂšres, lĂ  oĂč elle se sentirait plus Ă  mĂȘme d’exprimer cette tristesse dĂ©vorante. S’appuyant contre la fenĂȘtre, s’enroulant dans un drap chaud, elle avisa l’extĂ©rieur avec l’étrange sensation de ne plus faire partie de ce mĂȘme royaume. Au loin pouvait-elle percevoir encore le drame et les souvenirs qui en dĂ©coulaient. Ne se pardonnait-elle pas son incapacitĂ© Ă  sauver l’ensemble du royaume, des amis, une presque fille. Sa luciditĂ© n’était pas complĂštement revenue, non, mais elle Ă©tait dĂ©jĂ  plus Ă  mĂȘme de tenir une conversation. Avisant encore cette fenĂȘtre, fut-elle surprise de voir deux sergents passer le seuil de la porte, fut-elle surprise d’entendre la main frapper sur la porte d’entrĂ©e. Non, jamais elle n’aurait souhaitĂ© revoir des collĂšgues dans cet Ă©tat, jamais. La porte s’était ouverte et devant une rĂ©vĂ©rence parfaitement maĂźtrisĂ©e, les deux hommes s’étaient exprimĂ©s –seule la prĂ©sentation pouvait diffĂ©rencier en fonction de qui ouvrait la porte- - Monsieur le comte, madame la comtesse, mademoiselle, nous sommes les sergent Malorot et Outrant, nous venons partager nos sentiments de tristesse avec la sergente et lui rapporter des affaires. » un des deux hommes sembla gĂȘner, avisant ajoutant en direction du comte Monsieur de RivefiĂšre, nous avons reçu une commande de la sergente ce jour
 » il se racla la gorge Nous avons supposĂ© qu’elle vous Ă©tĂ© destiné  » l’homme d’armes dĂ©gaina une Ă©pĂ©e longue Ă  une main, dont la lame semblait briller avec le reflet du soleil, un serpent enroulĂ© le pommeau avec que son rangement Ă©tait gravĂ© Ă  l’ensemble des Trois dieux. Le long de la larme de chaque cĂŽtĂ© la devise de chaque famille, RivefiĂšre et d’Algrange. Une lĂ©gĂšre quinte de toux, conscient que la situation Ă©tait Ă©trange, les deux hommes d’armes avaient fini par confier l’ensemble Ă  la domestique –et ou Ă  celui qui rĂ©cupĂ©rait l’ensemble- des rapports, l’épĂ©e, Ă©galement celle de Sydonnie, des petits prĂ©sents de ses subalternes et surtout, surtout, les affaires de son prĂ©cieux ami disparut et celle d’Anne, celle qui aurait du partager la vie du couple plus longtemps. - Nous ne vous dĂ©rangeons pas plus longtemps, sachez nĂ©anmoins que nous allons passer rĂ©guliĂšrement. Votre Ă©pouse est hĂ©roĂŻque, certainement pas autant que vous, mais les faits d’armes rĂ©alisĂ©s
 Serait-elle une grande perte si la milice ne pouvait plus la compter parmi ses rangs
 Pourriez-vous lui faire passer le message ? Nous donner des nouvelles
 » Ils inclinĂšrent la tĂȘte avant de disparaĂźtre, c’était Ă  la fois Ă©trange pour des hommes d’admettre la qualitĂ© d’une femme devant un noble, Ă©trange de presque sous-entendre qu’il ne fallait pas prendre de mauvaises dĂ©cisions
 Le royaume Ă©voluait grandement, l’évĂ©nement du couronnement aussi dramatique soit-il appuyĂ© sur cet Ă©tat de fait
 Maintenant, tout Ă©tait une nouvelle fois Ă  reconstruire. A l’étage, la noiraude observait les deux collĂšgues s’éloigner et prise de cette colĂšre folle contre elle-mĂȘme, contre les dieux, contre le royaume entier avait dĂ©butĂ© sa dĂ©molition de la piĂšce. Chaque fois que son bras s’activait pour balancer un objet contre le mur, la porte, une nausĂ©e la prenait, un vertige, chaque fois chutait-elle sur le sol, refusant de laisser s’échapper la moindre larme et si l’ensemble de ses lancĂ©es ne semblaient pas voler plus loin qu’un minuscule mĂštre devant elle, ce ne fut que quand la porte s’ouvrit et au mĂȘme instant que le plus violent des envois fut rĂ©alisĂ© et que celui oĂč celle qui s’y trouvait due recevoir le fameux objet. Relevant les yeux, perdus, assis au milieu de cette piĂšce qu’elle commençait Ă  dĂ©tester, elle dĂ©tailla la silhouette qui venait de manquer de peu de se faire assommer, murmurant simplement - Ce n’était pas toi que je visais » que visait-elle justement ? Ça va
 j’allais me recoucher
 » DerniĂšre Ă©dition par Sydonnie de RivefiĂšre le Sam 23 Nov 2019 - 1059, Ă©ditĂ© 1 fois Roland de RivefiĂšreComteSujet Re [AbandonnĂ©] Reconstruction pour la citĂ©e, mais pas seulement [Roland] Lun 14 Oct 2019 - 2220 Roland, assis dans le salon un verre Ă  la main, se souvenait les paroles de la prĂȘtresse qui soignait son Ă©pouse, elles trottaient dans sa tĂȘte. Il comprenait leur sens, bien sĂ»r. Acceptait-il pour autant ? Pas encore. Il avait besoin de temps. Mais la soigneuse lui avait fait comprendre que du temps, il n’en aurait peut ĂȘtre pas. Les jours de sa bien-aimĂ©e Ă©taient peut ĂȘtre comptĂ©s. Il Ă©tait passĂ© la voir au temple, son Ă©tat semblait encore incertain. Elle Ă©tait Ă©galement fragilisĂ©e par cette grossesse, qu’elle ignorait toujours. Il avait demandĂ© Ă  la religieuse de ne rien dire Ă  personne pour le moment, encore moins Ă  la principale concernĂ©e. Tant qu’elle Ă©tait dans ce terrible Ă©tat et loin de lui, il prĂ©fĂ©rait taire la nouvelle. Le blond aux yeux clairs avait tant espĂ©rĂ© que cette nouvelle voie le jour. Mais il imaginait son annonce diffĂ©rente, trĂšs diffĂ©rente. Il l’avait appris alors qu’on lui disait Ă©galement que sa femme Ă©tait entre la vie et la mort, qu’elle lui rĂ©vĂ©lait Ă©galement un terrible secret. Ce n’était pas le moment rĂȘvĂ© et cela ternissait le moment, qui se voulait joyeux. Il se trouvait Ă  prĂ©sent tiraillĂ© entre plusieurs Ă©motions, c’était dĂ©jĂ  le cas avant les aveux, mais lĂ , tout devenait si compliquĂ©, les souvenirs dansaient dans son esprit et s’amusaient Ă  le rendre presque fou. Seul l’alcool parvenait Ă  faire taire son ressenti pendant un temps. Ce secret, il fallait maintenant apprendre Ă  vivre avec. Il aurait prĂ©fĂ©rĂ© l’ignorer, ne jamais ĂȘtre au courant de cela
 Serena s’était elle aussi bien gardĂ©e de le lui dire. Il comprenait Ă  prĂ©sent cette histoire de pacte de sang qu’elles avaient rĂ©alisĂ© toutes les deux. C’était en ce temps bien au-delĂ  qu’une simple amitiĂ©. Il n’aurait jamais dĂ» passer outre. MĂȘme s’il s’est Ă©nervĂ© et fĂąchĂ© avec Sydonnie sur le moment, puis le lendemain avec sa sƓur, il ignorait encore la partie majeure de l’affaire. Elles s’étaient quand mĂȘme bien moquĂ©es de lui. Les deux femmes qui comptaient le plus dans sa vie, hormis sa mĂšre, quel outrage
 Les autres Ă©vĂšnements et la peur d’une mort imminente avait balayĂ© l’acte. Mais il revenait Ă  prĂ©sent, il se le prenait en plein visage. Sydonnie avait Ă©tĂ© rapatriĂ©e enfin au manoir. Elle vivait sous le mĂȘme toit que lui, mais ils se comportaient presque en Ă©tranger. Il prenait de ses nouvelles auprĂšs de la prĂȘtresse, quant Ă  l’avancĂ©e des soins et de son Ă©tat, il passait la voir lorsqu’elle Ă©tait endormie, il restait parfois quelques instants Ă  la regarder dormir. LĂ  oĂč il pouvait la contempler, se rendre compte Ă  quel point elle comptait pour lui, sans avoir besoin de parler, sans explications, sans disputes Ă  craindre. Car de toute façon, il savait que des tensions ne seraient sĂ»rement pas bonnes pour elle ni pour l’enfant qu’elle portait. Il entendit un bruit de porte Ă  l’étage, il se leva alors, se dirigeant vers l’escalier. La prĂȘtresse signalait que Sydonnie ne voulait pas recevoir de visite. Il la laisserait se reposer si tel Ă©tait son souhait, peut ĂȘtre fuyait-elle aussi une confrontation ou qu’elle lui en voulait
 Pourtant, il faudrait bien qu’ils parlent. Laisser passer les jours, sans un mot, ne ferait qu’amplifier le malaise. - Merci pour votre aide. » RĂ©pondit-il de maniĂšre assez solennelle. Il lui Ă©tait reconnaissant de tout ce qu’elle faisait pour sa femme. Et aussi rassurĂ© de savoir que son Ă©tat s’amĂ©liorait. Seulement, il trouvait parfois ses prises de position et ses conseils un peu trop familiers. Il n’avait pas l’habitude de cela. En d’autres circonstances, il aurait trouvĂ© une formulation polie pour la remettre Ă  la place qui Ă©tait la sienne. Mais sans doute son absence de beaucoup de paroles et son attitude froide et distante faisaient dĂ©jĂ  bien le travail. Et qu’elle se contentait de passer outre, tranchant tout de mĂȘme de son Ă©tait plus morose et de plus mauvaise humeur, il essayait donc de prendre sur lui, en ayant conscience de cela. La petite prĂȘtresse ne cherchait pas Ă  mal loin de lĂ , mais il supportait difficilement qu’on lui dicte ce qu’il avait Ă  faire. Je peux aller la voir, Roland. Si tu... » - Non, laissez la. » Coupa le comte. Laissons la dormir, mĂšre. J’irai la voir plus tard, seul. » Ajouta-t-il avec moins de calme fit alors de nouveau place dans la demeure, avant que celui-ci ne soit troublĂ© par le bruit de la porte d’entrĂ©e. Margareth, la domestique, avait appelĂ© le maĂźtre de maison. Il se dirigea alors vers la porte, aprĂšs que la domestique l’ait averti de quoi il retournait. Deux sergents s’étaient dĂ©placĂ© Ă  leur domicile, pour prendre des nouvelles et dĂ©poser des affaires personnelles. La domestique prit les prĂ©sents et les affaires, Roland s’occupa des Ă©pĂ©es. Il observa celle qui avait Ă©tĂ© faite pour lui un instant, avant de reporter son attention sur les deux hommes, afin de les remercier. Ils ajoutĂšrent eux aussi un petit mot, Ă  l’attention de son Ă©pouse. - Je lui transmettrai, merci messieurs. Mais ne comptez pas revoir madame de RivefiĂšre trop rapidement. Elle a besoin de repos. »Il disparut de l’ouverture de la porte, suite Ă  ces quelques mots. Margareth se chargerait du reste. Il Ă©tait bien conscient que les personnes l’apprĂ©ciant Ă  la caserne aimerait avoir de ses nouvelles, la voir et qu’elle retrouve rapidement le chemin du travail. Mais dans son Ă©tat, il en Ă©tait totalement hors de question. Il la savait tĂȘtue parfois et savait aussi combien son mĂ©tier et sa carriĂšre comptaient pour elle. Mais prendre des risques et se fatiguer alors qu’elle tenait encore difficilement stable sur ses pieds et qu’en plus elle portait un enfant, c’était totalement dĂ©raisonnable. Le comte de RivefiĂšre demanda ensuite Ă  Margareth de l’accompagner, c’était le moment de rejoindre la chambre oĂč devait se reposer son Ă©pouse. Il prit soin de regarder de plus prĂšs l’épĂ©e et de la ranger soigneusement avec celle de Sydonnie. Mieux valait peut ĂȘtre pas apporter d’armes tranchantes dans la piĂšce, il ne savait pas trĂšs bien encore comment il allait ĂȘtre reçu !Et visiblement, il ne se trompait pas. Il dĂ» faire un Ă©cart et failli renverser un vase posĂ© sur une Ă©tagĂšre Ă  cĂŽtĂ© de lui. Un objet venait de foncer droit sur lui, lancĂ© par la femme qui, normalement, aurait dĂ» ĂȘtre allongĂ©e en cet instant. Au lieu de cela, elle se trouvait lĂ  debout, au milieu de la piĂšce, l’air furieux et contrariĂ©. La piĂšce Ă©tait parsemĂ©e de divers objets, plus ou moins cassĂ©s. Pas de bris de verre, heureusement. Mais il semblerait avoir eu une scĂšne de combat ici
 Assez troublant. Roland se retourna vers la domestique, qui Ă©tait restĂ©e derriĂšre lui dans le Posez tout cela sur la commode ici et laissez nous je vous prie Margareth. »La petite domestique s’exĂ©cuta rapidement et quitta les lieux sans demander son reste. Dans un mĂȘme temps, Sydonnie avait prit la parole. Plus que ses mots, ce fut son expression qui le brisa, Ă  l’instant oĂč il posa son regard clair sur son visage. Elle semblait en proie Ă  une rĂ©elle tendresse. Il fut instantanĂ©ment attristĂ© par ce regard qui en disait long, ce regard qui l’avait dĂ©jĂ  touchĂ© Ă  plusieurs reprises. Il se rendait compte Ă  cet instant, qu’indĂ©niablement il l’aimait toujours, il ferait tout pour la protĂ©ger elle, avant tout. Il se dirigea alors vers elle, doucement. - J’espĂšre bien que tu ne me visais pas, je suis venu en paix. » Tenta-t-il de plaisanter, mĂȘme s’il en avait pas rĂ©ellement le cƓur. La prĂȘtresse m’a dit que ton Ă©tat s’amĂ©liorait un petit peu. Je me doute que tu manques d’activitĂ© physique, d’oĂč ton entraĂźnement au lancer de divers objets, je suppose ? Je n’en parlerai pas Ă  ma mĂšre, je pense qu’elle y tient un peu Ă  ses bibelots... » Il lui sourit, s’approchant davantage, esquissant un geste vers elle. Il prit sa main dans la sienne, caressa son visage de l’autre, en venant lentement dĂ©poser un baiser sur ses lĂšvres. MĂȘme si ça me rassure de te voir debout, j’aimerai en effet que tu retournes au lit, s’il te plaĂźt
 Ne joue pas avec ta santĂ©. Te perdre n’est vraiment pas quelque chose que j’envisage. » Il l’accompagna alors au lit, au moins pour l’asseoir, puis il reporta son regard vers la commode. Il s’en approcha afin de lui apporter les divers paquets. Deux sergents sont passĂ©s pour prendre de tes nouvelles, je n’ai pas retenu leur nom. Mais ils semblaient bien te connaĂźtre et apprĂ©cier tes qualitĂ©s. Ils ont dĂ©posĂ© cela pour toi. » Il lui dĂ©posa les diffĂ©rents paquets sur le lit. Et ton Ă©pĂ©e aussi, je l’ai rangĂ©e
 Ainsi que
 la mienne. Elle est vraiment magnifique et bien travaillĂ©e, l’idĂ©e me plaĂźt beaucoup, merci pour ça. »Il la laissait Ă©videmment rĂ©agir Ă  l’ensemble des informations et au contenu des divers paquets, lui laissant ce petit moment de dĂ©couverte, s’écartant un peu vers la fenĂȘtre. Sydonnie de RivefiĂšreSergenteSujet Re [AbandonnĂ©] Reconstruction pour la citĂ©e, mais pas seulement [Roland] Sam 26 Oct 2019 - 1834 ◈ ◈ ◈Immobile, la noiraude dĂ©taillait celui qui s’approchait, avant de dĂ©tourner le regard pour suivre les mouvements de la domestique qui disparaissait Ă  son tour de la piĂšce. DisparaĂźtre, voilĂ  bien une chose qui traversait rĂ©guliĂšrement l’esprit embrumĂ© de la jeune femme, sans qu’elle n’ose vĂ©ritablement ni le formulĂ© auprĂšs de son mari, ni mĂȘme de sa prĂȘtresse. Affaiblie, Ă©puisĂ©e, la dĂ©sormais de RivefiĂšre ne semblait pas rĂ©ellement comment se positionner ni se comporter auprĂšs de Roland, de cette demeure et de ce nouveau titre. PropulsĂ© par blessure, mise en Ă©chec et mat par les dieux eux-mĂȘmes avait-elle la dĂ©sagrĂ©able sensation qu’ils se jouaient tous d’elle, s’amusaient-ils comme ils pourraient le faire avec une poupĂ©e de chiffons, un pantin fait de bois. Le soupir qui avait fini par s’échapper de ses lĂšvres devait en dire long, tout comme cette excuse sincĂšre, celle qui Ă©voquait le fait qu’elle ne voulait aucunement le blesser, le toucher. Il Ă©tait lĂ , alors que derniĂšrement son absence Ă©tait plus soulignable que sa prĂ©sence, lui en voulait-elle sans aucun doute pour ça Si la prĂȘtresse le dit » il Ă©tait juste devant elle, Sydonnie semblait le redĂ©couvrir, comme pour la premiĂšre fois avec cette Ă©trange Ă©motion, cette Ă©trange sensation Tu m’excuseras auprĂšs de ta mĂšre je ferais rempla
 » elle n’en ferait rien, c’était lui dĂ©sormais, lui qui gĂ©rait l’ensemble de ses biens Si tu le permets, Ă©videmment. » Docile, voilĂ  bien une chose dont la noiraude n’était pas habituĂ©e, voilĂ  bien une chose qui devait encore justifier ses Ă©tats d’ñme, cette difficultĂ© d’adaptation. Convaincue qu’elle allait mourir, en avait elle-mĂȘme presque fini par se satisfaire avant de devoir faire face Ă  sa survie. Les dieux avaient un drĂŽle d’humour, oui, qui ne semblait dĂ©finitivement pas partager par la dĂ©sormais comtesse. Reprenant quelques couleurs, l’ensemble avait semblĂ© disparaĂźtre alors qu’un contact chaud se faisait sur sa main, puis sur ses lĂšvres, alors qu’un simple geste de tendresse sembla lui faire oublier tout le reste. Son cƓur, son esprit avaient fait silence, le temps de l’échange aussi furtif pouvait-il ĂȘtre. Signe, confirmation que Roland de RivefiĂšre Ă©tait bien trop important dans sa vie, Ă©tait-elle devenue sans aucun doute, dĂ©pendante Ă  cet homme qui ne devait pas le rĂ©aliser. - Je pensais que tu me fuyais
 » un murmure, un aveu, sans qu’elle ne comprenne rĂ©ellement la raison Je ne t’en veux pas, je comprends
 voir son Ă©pouse dans un mauvais Ă©tat
 » en rĂ©alitĂ©, Sydonnie lui en voulait pour son absence, tout en l’acceptant et le comprenant Je sais que tu es occupĂ©. » Oui, elle savait. Jamais l’idĂ©e d’une autre femme ne lui avait traversĂ© l’esprit, Sydonnie n’était dĂ©finitivement pas Ă©pouse jalouse, bien au contraire, avait-elle promis de lui faire confiance, promesse qu’elle respectait avec application. Nouveau soupir, alors qu’elle accepte de retourner s’installer au bord du lit, alors que ses prunelles avisent avec cette inquiĂ©tude nouvelle son mari. La dame semble avoir besoin de rĂ©ponse, sans parvenir Ă  formuler les questions sans oser le questionner sur la vĂ©racitĂ© de ses souvenirs, des discussions. Il s’était Ă©loignĂ©, sans qu’elle ne cherche Ă  le retenir, avisant simplement les mouvements avec une curiositĂ© mĂȘlĂ©e Ă  de l’incomprĂ©hension, aucun paquet ne fut ouvert, simplement dĂ©placĂ© et dĂ©posĂ© Ă  cĂŽtĂ© d’elle. Un instant son visage exprima cette confusion Ă©trange alors qu’il Ă©voquait son Ă©pĂ©e, aurait-elle apprĂ©ciĂ© sans aucun doute l’avoir auprĂšs d’elle, la regarder, ressentir l’illusion d’ĂȘtre encore en mesure de l’utiliser. L’évocation de son cadeau lui tira une grimace, elle aurait prĂ©fĂ©rĂ© que cela se dĂ©roule autrement, ĂȘtre en mesure de lui offrir, pouvoir aviser sa surprise, son plaisir ou non plaisir
 Elle eut de nouveau la sensation qu’on le lui avait retirĂ©, privĂ© de ce droit et ce ne fut qu’un fin sourire un peu forcĂ© qui se dĂ©clara comme unique rĂ©ponse. À peine revenu que le comte s’éloignait dĂ©jĂ , laissant cette Ă©pouse seule sur son lit, avec sa fatigue et ses multitudes de questions. Ses lĂšvres avaient fini par s’entrouvrir, avant de se refermer dans cette rĂ©signation dĂ©sagrĂ©able. Attrapant un paquet, elle eut un dĂ©but de courage et d’envie de l’ouvrir, avant de l’abandonner de nouveau sur le bas-cĂŽtĂ©, avant de se glisser sur le lit, dos contre le lit, les yeux rivĂ©s vers un plafond dont elle connaissait par cƓur la moindre imperfection. - Si tu ne l’aimes pas
 » petit pincement au cƓur Tu peux l’offrir en don au temple, ou Ă  la milice
 Cela sera utile » dĂ©tournait-elle la conversation, sans oser affronter directement la future tempĂȘte Je ne m’en offusquerai pas, je ne m’offusquerai pas non plus de ton absence si c’est ce que tu dĂ©cides, je sais que tu es
 occupĂ©. »Elle se rĂ©pĂ©tait, oui, mais parce qu’elle se refusait de rentrer en conflit et semblait pour la premiĂšre fois ĂȘtre dans la capacitĂ© de le rassurer, d’ĂȘtre celle qui Ă©tait forte, non, Ă  son tour la noiraude avait besoin qu’on prenne le relais, sans le demander, sans forcĂ©ment le montrer. Avait-elle la sensation d’ĂȘtre une miette parmi un tas de poussiĂšre, tout juste bonne Ă  ĂȘtre soufflĂ©e par le vent. Ce fut finalement cette Ă©trange constatation qui l’obligea Ă  sortir de cette rĂ©serve, toujours allongĂ©e sur le dos, les yeux se fixant dans la continuitĂ© de son regard sur le plafond. - J’aimerai sortir Roland, j’étouffe ici
 Cette chambre n’est pas la mienne, je voudrais ĂȘtre dans notre chambre
 » ou rentrer chez elle, dans sa maison N’était-ce pas nos vƓux
 J’ai l’impression qu’ils sont si loin dĂ©sormais
 sommes-nous amenĂ©s Ă  nous comporter comme des Ă©trangers ? » et puis elle osa, elle osa sans rĂ©ellement le faire Je sais que tu ne pourras pas me pardonner, suis-je sans aucun doute indigne des Trois, de toi, sans quoi auraient-ils pu au moins m’accueillir dans leur royaume, cela aurait sans aucun doute Ă©tĂ© plus simple pour toi. » C’était tellement dur, mais tellement sincĂšre qu’elle dĂ» faire des pauses pour terminer entiĂšrement ses phrases Tu es mon mari, j’ai choisi de t’épouser, je t’ai choisi
 Et
 » elle ne le regrettait pas une seule seconde, un seul instant Tu es la personne la plus prĂ©cieuse Ă  mes yeux, je me suis engagĂ©e et je n’ai jamais dĂ©rogĂ© Ă  notre engagement depuis que nous sommes ensemble
 »Cela ne la dĂ©douanait pas du reste, Sydonnie le savait, Ă©tait-ce moins douloureux de le formuler comme ça, d’espĂ©rer que tout n’était pas brisĂ©, terminĂ©, balayĂ©. Silencieuse, aurait-elle pu se relever, venir chercher un peu de tendresse, mais cette crainte grandissante d’ĂȘtre repoussĂ© avait raison de la totalitĂ© de son ambition, sa flamme avait fini par s’éteindre, ne restait-il que cette colĂšre, cette incomprĂ©hension, cette rĂ©signation. - Je comprends » conclut-elle finalement la voix nouĂ©e par un chagrin qu’elle ne s’autorisait pas Ă  ressentir, exprimer C’est toi le dĂ©cisionnaire de toute façon » souffla-t-elle Si mon Ă©tat s’amĂ©liore je ne te ferai pas ombrage dans tes dĂ©cisions, laisse-moi juste au moins sortir un peu, je me ferais accompagner par la personne de ton choix
 » elle avait fini par fermer les yeux Je ne suis pas certaine des compĂ©tences de notre prĂȘtresse
 Elle dit que mon Ă©tat s’amĂ©liore, mais
 j’ai toujours des nausĂ©es, des douleurs et des nouvelles qui apparaissent
 J’ai du mal avec des odeurs que j’apprĂ©ciais pourtant
 Ne voudrais-tu pas faire venir un autre guĂ©risseur, juste au cas oĂč ? »◈ ◈ ◈ Roland de RivefiĂšreComteSujet Re [AbandonnĂ©] Reconstruction pour la citĂ©e, mais pas seulement [Roland] Mar 5 Nov 2019 - 1504 Faire remplacer les objets cassĂ©s, mĂȘme la mĂšre RivefiĂšre s’en moquait sans doute Ă  prĂ©sent. Les choses n’avaient plus la mĂȘme valeur, mĂȘme les nobles en devenaient beaucoup moins matĂ©rialistes. La veuve avait perdu son Ă©poux, la vie Ă©tait devenue bien triste pour elle aussi. Il fit un geste, faisant comprendre Ă  Sydonnie que tout cela n’avait plus vraiment d’importance. Ce qui l’inquiĂ©tait davantage concernant sa mĂšre, c’était qu’il la voyait dĂ©pĂ©rir de jour en jour, ne sachant pas quoi faire pour changer cela. Elle semblait se laisser mourir aussi, n’ayant plus de goĂ»t Ă  la vie, dĂ©jĂ  en oubliant presque celle qu’elle Ă©tait auparavant, puis en perdant une part d’elle mĂȘme, avec le dĂ©cĂšs du pĂšre de RivefiĂšre. Elle restait lĂ  pour ses enfants, en n’étant plus que l’ombre d’elle-mĂȘme. Voir sa mĂšre dĂ©pĂ©rir Ă  ce point, se sentir impuissant Ă©tait douloureux pour Roland. Et ce, mĂȘme s’il n’avait pas rĂ©ellement eu d’affection dans son enfance, qu’elle Ă©tait bien trop occupĂ©e avec ses affaires et son rĂŽle. Son titre et son apparence avaient toujours comptĂ© plus que tout, quitte Ă  cacher les sentiments, les Ă©motions et tout ce qui rendait une personne humaine et intĂ©ressante. Le blond aux yeux clairs avait Ă©tĂ© Ă©levĂ© ainsi, en apprenant Ă  ne jamais montrer ce qu’il ressentait, Ă  devenir un homme trĂšs tĂŽt, Ă  s’occuper d’affaires d’adultes qui ne le concernaient pas. Il avait appris Ă  se forger cette image d’homme fort et impassible. Depuis plusieurs mois, l’image s’était brisĂ©e, entraĂźnant presque sa chute. Il ne savait pas quoi faire de ce trop plein d’émotions, il ne savait pas les gĂ©rer, il avait des problĂšmes avec les relations humaines et ne comprenait pas toujours les choses de la bonne façon. Pourtant, Ă  ce stade, il ne rĂ©ussissait pas Ă  en vouloir trop Ă  ses gĂ©niteurs. Son pĂšre n’était plus lĂ , il garderait nĂ©anmoins un profond respect pour l’homme qu’il Ă©tait, il a su tout de mĂȘme garder sa famille Ă  l’abri. Et sa mĂšre, il l’aimait Ă©videmment et ne voulait pas la perdre Ă  son comme la brune en face de lui, qui Ă©tait devenue son Ă©pouse. Comme il le lui avait dit, la perdre n’était pas quelque chose d’envisageable. Il avait besoin d’elle Ă  ses cĂŽtĂ©s, de son soutien, de son appui. Il resterait fort, pour elle, il essaierait. Il lui en avait fait la promesse. Mais pourquoi avait-il l’impression qu’elle tentait de lui dire adieu, pourquoi avait-elle Ă  ce point envie de renoncer Ă  la vie, ne croyait-elle pas en un avenir possible ? Un avenir heureux, c’était difficile de l’imaginer, mais au moins essayer, faire en sorte que ce soit rĂ©alisable, ne pas renoncer Ă  la vie. Elle acceptait de se poser sur le lit, simplement elle ne touchait pas aux paquets qui avait Ă©tĂ© apportĂ©s pour elle. La sergente semblait pensive, troublĂ©e. Il se doutait bien qu’il Ă©tait difficile pour elle de rester au repos, mais il Ă©tait loin d’imaginer qu’elle lui en voulait rĂ©ellement. Il avait essayĂ© de faire au mieux, de la protĂ©ger, de la tenir Ă  l’écart. L’écart de quoi, l’écart de qui ? De son mĂ©tier ? De Serena mĂȘme ? Peut ĂȘtre bien. Il avait Ă©tĂ© vexĂ©, il ne savait pas trĂšs bien comment rĂ©agir Ă  cela, peut ĂȘtre avait-il inconsciemment envie de la punir, en la retenant presque en otage ici, sans venir la voir. Lui laisser le temps de rĂ©flĂ©chir Ă  ses actes. C’était peut ĂȘtre un peu cruel dit comme cela, mais non forcĂ©ment prĂ©mĂ©ditĂ©. Il se laissait du temps et lui en laissait aussi. La rancƓur d’un homme Ă©tait difficilement palpable, sa rĂ©action assez alĂ©atoire et imprĂ©visible. Il avait des raisons lui aussi de lui en vouloir, mais il prĂ©fĂ©rait rĂ©agir Ă  sa maniĂšre, en fuyant simplement. Ce qui expliquait son absence de ces derniers jours, alors qu’il aurait dĂ» ĂȘtre Ă  son chevet, plutĂŽt que de laisser la prĂȘtresse et sa propre mĂšre s’occuper d’elle. D’ailleurs, Ă  deux reprises, Sydonnie lui fit remarquer qu’il devait ĂȘtre occupĂ©. Il commençait Ă  connaĂźtre ses reproches, Ă  les visualiser, dissimulĂ©s dans ses paroles. Oui, elle Ă©tait contrariĂ©e et lui en voulait pour son absence. - Ton cadeau me plaĂźt beaucoup, ne dis pas de bĂȘtises. Et je suis lĂ  maintenant. »Elle Ă©tait allongĂ©e, il se rapprocha alors du lit, devant s’y asseoir prĂšs d’elle. La laissant dire ce qu’elle avait sur le cƓur. Cependant, il l’écoutait, mais il ne comprenait pas oĂč elle voulait en venir exactement. Elle parlait de leurs vƓux de mariage, de leur engagement l’un Ă  l’autre. Est-ce qu’elle prenait son absence pour une volontĂ© de sa part de la quitter, de mettre des barriĂšres entre eux ? Il vint alors s’allonger Ă  son tour, Ă  cĂŽtĂ© d’elle, prenant sa main dans la sienne. - J’avais juste besoin d’y voir un peu plus clair, c’est difficile pour moi de te voir dans cet Ă©tat, je ne peux pas te le cacher. Puis, oui tout ça a beaucoup pesĂ© dans ma tĂȘte. » Dans ce ça’, il englobait beaucoup de choses, son Ă©tat de santĂ© Ă  elle, celle de sa mĂšre, de Serena, l’histoire avec Serena, cette invasion et ce qu’il avait fait, la mort de son pĂšre et tant d’autres choses encore. Cela formait un tout, une explosion, un besoin de faire le vide, pour ne se concentrer que sur le principal. Puis, je suis revenu, comme dit, je suis lĂ  maintenant. Je n’ai pas l’intention de partir, de te quitter. »Puis cette phrase finale vint le chambouler Ă  nouveau, ce malaise qu’elle ressentait, bien sĂ»r, il savait maintenant d’oĂč cela venait. Il se devait de lui dire. - Je comprends parfaitement que tu aies envie de sortir, nous irons ensemble, j’y tiens. Je veux ĂȘtre lĂ  pour toi, pour nous. Tu sais que tu pourras toujours compter sur moi. » Il lui sourit, comprendrait-elle sa sincĂ©ritĂ©, son besoin de prĂ©sence, cette envie de la rassurer. Ils avaient encore des Ă©preuves Ă  traverser, mais il ne la laisserait pas seule pour le faire. Je sais que je ne suis pas non plus l’époux parfait, j’ai mes dĂ©fauts, je ne rĂ©agis pas toujours de la meilleure des maniĂšres. Je t’aime peut ĂȘtre d’une façon imparfaite, mais c’est ma maniĂšre Ă  moi de le faire. » Il passa la main sur le visage de la brune, venant parcourir d’un doigt son nez, le faisant glisser doucement vers ses lĂšvres. Puis vint l’embrasser de nouveau, appuyant plus longuement le baiser cette fois. Enfin, en rompant ce contact, rouvrant les yeux, il se releva quelque peu sur le lit, se tenant plus droit, appuyĂ© contre l’oreiller. Il ne lui faisait plus totalement face, mais restait attentif Ă  sa rĂ©action. La prĂȘtresse est une trĂšs bonne soigneuse, elle a toute ma confiance. Ce qui explique tes nausĂ©es, tes malaises, c’est
 parce que tu es enceinte. Tu attends un enfant Sydonnie, notre enfant. »L’annonce avait peut ĂȘtre Ă©tĂ© un peu directe, mais il n’y avait pas mille façons de le dire. Il Ă©tait prĂšs d’elle, il pouvait l’aider Ă  encaisser le choc que cela pourrait ĂȘtre pour elle. Il espĂ©rait tout de mĂȘme que ça l’a rende un peu heureuse, qu’elle ne se braque pas. C’était un cadeau des Trois, signe qu’ils avaient encore foi en eux, en leur couple et leur offrait la possibilitĂ© de devenir une famille. Est-ce qu’elle se sentait prĂȘte pour cela ? Sydonnie de RivefiĂšreSergenteSujet Re [AbandonnĂ©] Reconstruction pour la citĂ©e, mais pas seulement [Roland] Jeu 7 Nov 2019 - 2219 ◈ ◈ ◈Maintenant. Le mot avait dĂ» se rĂ©pĂ©ter dans son esprit, comme une boucle d’incomprĂ©hension, comme un poignard qui s’enfonçait dans une plaie pour mieux en ressortir et y repĂ©nĂ©trer par la suite. AllongĂ©e, la sergente s’immobilise dans le moindre de ses mouvements, se concentrant sur une respiration qui reste douloureuse, sifflante, presque dĂ©rangeante. Le bruit du plancher grinçant sous le poids du comte ne semble pas l’affecter, tout du moins suscitĂ© suffisamment d’intĂ©rĂȘt pour la faire se redresser. Les yeux de celle qui est devenue comtesse reste fermĂ©s, les Ă©motions la submergeant Ă©tant un peu trop puissante, incomprĂ©hensible pour lui permettre de conserver son impassibilitĂ© habituelle, prĂ©fĂ©rait-elle comme bien souvent la fuite. Ses lĂšvres s’étaient entrouvertes pour permettre une inspiration bruyante, alors que la silhouette masculine se retrouvait Ă  ses cĂŽtĂ©s, que le corps d’homme s’allongeait si proche de son propre corps. Un Ɠil seulement avait fini par s’ouvrir, afin de dĂ©taillant celui qui venait d’entrelacer ses doigts dans les siens, son cƓur s’était inĂ©vitablement mis Ă  battre plus fort, espĂ©rant que cette conversation qu’elle redoutait autant qu’elle Ă©tait nĂ©cessaire n’arrive vraiment. Maintenant. Oui, ce mot Ă©tait cruel, comme si elle pouvait effacer l’absence, comme s’il pouvait provoquer le pardon. Je suis fidĂšle maintenant, est-ce que ça signifiait qu’avant, l’erreur n’avait pas de valeur ? Je suis lĂ  maintenant. Oui, maintenant. Serrant doucement sa main dans la sienne, conservant cette incertitude et de marche sur une corde raide suspendue dans le vide, l’ancienne d’Algrange ne savait trop quoi, dire, formuler sans avoir cette crainte au ventre de ne pas choisir les bons mots et de provoquer une nouvelle tempĂȘte. Attentive, Sydonnie ne pouvait qu’entendre, traduire ce qui lui semblait ĂȘtre Ă  la fois une perche de secours et une pelle pour creuser son propre trou, se mordant l’intĂ©rieur de la joue, elle sentit une nouvelle fois son ventre former un nƓud, alors qu’une nouvelle nausĂ©e menaçait dĂ©jĂ  de poindre. Sa derniĂšre phrase provoqua une vague de soulagement, si intense, qu’elle avait fini par rouvrir les yeux pour le dĂ©tailler lui, cet homme qu’elle avait choisi d’épouser, celui qui lui avait passĂ© la corde au cou et inversement. - Ce n’était pas Ă©vident derniĂšrement
 » souffla-t-elle sans rĂ©ellement oser, sans aller jusqu’au bout Mais nous allons, reconstruire, ensemble, essayer, n’est-ce pas ? La comtesse, comment
 comment elle avance ? »Sa main encercle davantage la sienne, ses doigts remontent le long de son avant-bras, alors qu’elle s’est mise sur le cĂŽtĂ©, pour mieux l’aviser, le regarder. Doucement, elle s’approche, tout en conservant cette distance imaginaire, ce mur qui semble encore prĂ©sent malgrĂ© les efforts mutuels du couple. Ses lĂšvres se pincent alors qu’elle perçoit la paume de sa main sur sa joue, sa chaleur, ses paroles ne peuvent que la toucher, lui tirer ce sourire tendre, doux, amoureux. Naturellement les Ă©paules de la noiraude se roulent, se haussent puis retombent ou plutĂŽt frotte le tissu qui se trouve sous elle. Sortir, elle en rĂȘve dĂ©sormais, mĂȘme si ce n’est que pour ressentir un peu de chaleur, ou de fraĂźcheur, du vent et de la pluie. - Cela me ferait plaisir, oui, j’aimerais voir de mes propres yeux comment tout ça Ă©volue, pourrais-tu me raconter ? Comment vas Marbrume Roland, comment va notre citĂ© ? » Elle aurait pu lui demander, comme ils allaient eux, si ce vide, ce gouffre qu’elle percevait finirait par se rĂ©sorber. Pour autant sa bouche Ă©tait venue capturer la sienne, chastement, tout en douceur. Ce fut tout, avant qu’une nouvelle sĂ©paration s’installe qu’il reste contre son oreiller rempli de plumes, pas complĂštement vers elle, pas complĂštement dos Ă  elle. Si l’hĂ©sitation de se redresser avait du poindre, si un mouvement physique allant dans ce sens avait dĂ» se faire voir, tout fut rapidement anĂ©anti, absolument du tout, envolĂ©, balayĂ©, submergĂ© par un seul mot aussi irrĂ©aliste qu’indĂ©finissable. Enceinte. La crispation Ă©tait rĂ©elle alors qu’elle repoussait l’idĂ©e sans aucune hĂ©sitation. Comment pourrait-elle ĂȘtre enceinte, elle qui ne l’avait Ă©tĂ© jusque-lĂ , elle dont la mĂšre avait eu tant de difficultĂ© Ă  avoir une fille, elle qui faisait partie de ceux maudits par Serus lui-mĂȘme dans l’art de la procrĂ©ation. Enceinte. Ce fut d’abord un rire, alternant entre humour sincĂšre et angoisse nerveuse parfaitement dissimulĂ©e. Enceinte. Comment une sergente pourrait l’ĂȘtre, comment une femme passant la plupart de son temps une lame Ă  la main pourrait l’ĂȘtre. Comment Ă©tait-ce possible ?! Enceinte. L’écho se faisait de plus en plus violent, de plus en plus Ă©touffant, elle suffoquait sans mĂȘme en avoir conscience. Ce n’était pas possible, pas envisageable, c’était trop tĂŽt simplement. Sa main avait abandonnĂ© la proximitĂ© de la silhouette de son mari, sa peau c’était mis Ă  perler de sueur ou bien avait-elle la sensation d’avoir soudainement excessivement chaud. Le mariage Ă©tait encore si rĂ©cent, si
 Son regard fixait ce plafond, vibrant, scrutant, se mouvant au grĂšs de rĂ©flexions qu’elle ne formulait pas oralement. Il se trompait, il se trompait c’était une Ă©vidence et cherchait Ă  se raccrocher Ă  un espoir qu’elle n’était pas en mesure de lui offrir. Comment un enfant aurait-il pu survivre Ă  l’attaque qu’elle avait essuyĂ©e ? Comment le monstre aux mains recouvertes de sang pouvait-elle porter la vie ? - Roland, je viens de manquer de rejoindre le royaume des Trois » fit-elle pragmatique en se redressant dans une lenteur qui ne lui ressemblait pas Comment veux-tu, comment veux-tu qu’un enfant survive Ă  ce qui a manquĂ© de me faire succomber, comment
 Comment veux-tu que je sois enceinte ? » et si c’était le cas, comment allait ĂȘtre l’enfant, lui qui avait dĂ©jĂ  tant subit, sa blessure provoquerait-elle une contamination
 ses sourcils se froncĂšrent, alors que sa respiration s’accĂ©lĂ©rait dĂ©jĂ  Ce n’est pas possible tu entends, ce n’est pas possible, nous n’avons pas beaucoup et
 nous sommes mariĂ©s depuis peu
 et tu es occupĂ© et je suis occupĂ© et ce royaume ce royaume se meurt et
. Ce n’est pas possible. »Ce n’était pas possible, c’était comme manquer soudainement d’art, comme ĂȘtre proche d’un feu brĂ»lant, comme se noyer en pleine mer. Elle s’était redressĂ©e entiĂšrement fixant ce vide, ce mur avec une incomprĂ©hension poignante, avec un refus, une impossibilitĂ© de croire, d’accepter. Tout semblait se mĂ©langer dans son esprit, inquiĂ©tude, rĂ©alitĂ©, refus, espoir et perdition. Puis cet Ă©trange sentiment de peur, de peur si profonde, si dĂ©routante, si grandissante. Puis cette question, pourquoi le savait-il ? Comment le savait-il ? Se trompait-il ? - Je sais, je sais Roland que c’est ce que tu attends
 ce dont tu as besoin, mais je doute que Serus se montre si gĂ©nĂ©reux aussi rapidement, je ne veux pas que tu sois déçu, nous avons dĂ©jà
 tant de choses Ă  surmonter
 Roland, ce n’est pas.. Regarde-moi, mon Ă©tat, mon ventre est plat, rempli de cicatrice
. » ◈ ◈ ◈ Roland de RivefiĂšreComteSujet Re [AbandonnĂ©] Reconstruction pour la citĂ©e, mais pas seulement [Roland] Lun 11 Nov 2019 - 2121 Il se doutait que les jours prĂ©cĂ©dents n’avaient pas Ă©tĂ© Ă©vidents pour elle. La difficultĂ© de ressentir cette douleur, cette blessure et ce repos forcĂ©, dur Ă  accepter pour elle qui Ă©tait toujours trĂšs active. Il le comprenait trĂšs bien. Puis, elle Ă©tait aussi restĂ©e dans cette incomprĂ©hension, devant subir l’indiffĂ©rence de son mari. Alors qu’il n’en Ă©tait rien, ce n’était pas de l’indiffĂ©rence. Il avait eu ce besoin d’air, cette envie Ă©goĂŻste de prendre un peu de temps pour lui, pour rĂ©flĂ©chir. Il l’avait dĂ©jĂ  fait dans le passĂ©, et cette maladresse avait dĂ©jĂ  bien failli causer la fin de leur couple. Il n’avait, semblerait-il, pas vraiment compris la leçon. DorĂ©navant, les choses Ă©taient complĂštement diffĂ©rentes. Ils n’étaient plus un jeune couple qui se tournait autour et surmontait mal les difficultĂ©s, quitte Ă  tout envoyer valser. Non, ils Ă©taient devenus mari et femme devant les Trois. Il fallait rĂ©apprendre Ă  communiquer, Ă  se faire confiance, Ă  avancer l’un avec l’autre, surtout pas l’un envers l’autre. Sur ce point, ils se rejoignaient tout Ă  fait. - Oui, c’est effectivement dans mes projets. » lui rĂ©pondit-il, d’une voix douce et rassurante. Il avait ce dĂ©sir d’avancer malgrĂ© tout, malgrĂ© les Ă©preuves. MĂȘme si les choses sont quelque peu diffĂ©rentes, parce que je me sens diffĂ©rent, pas Ă  cause de toi. Mais
 Ă  cause de tout ça, tu sais
 » Cette invasion et tout ce qu’elle a causĂ©. Pour la comtesse, c’est pareil, j’ai l’impression qu’elle ne se remettra pas de la mort de mon pĂšre. J’ai beaucoup de mal Ă  la voir dans cet Ă©tat, je ne la reconnais pas
 Comme je ne me reconnais pas. »Il souffla cette derniĂšre phrase d’une voix trĂšs basse, lĂ  n’était pas le sujet, ce n’était pas de lui dont il Ă©tait question. Puis de toute façon, il n’avait pas envie de s’étendre maintenant sur le sujet. Il avait envie d’ĂȘtre lĂ  pour elle, comme il l’avait dit, de s’occuper de son Ă©pouse, comme il aurait dĂ» le faire dĂ©jĂ , sans la laisser durant plusieurs jours. Il espĂ©rait qu’elle lui pardonnerait son manque d’attention. Ce n’était plus seulement de la maladresse, comme par le passĂ©. Cette fois, il en avait Ă©tĂ© conscient, de cette absence. Il ne rĂ©pondit pas tout de suite Ă  ses interrogations concernant la citĂ©. Il avait son idĂ©e en tĂȘte et l’inquiĂ©ter face au drame qu’était devenue cette partie close du goulot n’en faisait pas partie pour l’instant. Il rompit ce silence par ce baiser qu’il dĂ©posa lentement sur ses lĂšvres. Il aimait la façon qu’elle avait eu de le regarder, de lui sourire. Il sentit Ă  cet instant que la flamme n’était pas Ă©teinte entre eux, qu’il y avait toujours de l’espoir pour leur couple. Que pas Ă  pas, peut ĂȘtre, ils sauraient reprendre le cours de leur vie, ensemble. Il Ă©tait parfois Ă©trange que deux ĂȘtres continuent d’ĂȘtre liĂ©s l’un Ă  l’autre, alors que tout ou presque, semble vouloir les sĂ©parer. Les personnes, les actes, la mort elle-mĂȘme. Mais ils avaient pour l’instant tout surpassĂ©, il ne fallait pas laisser tomber maintenant, ne pas lĂącher. Leur amour Ă©tait encore prĂ©sent, dans cette Ă©tincelle dans leurs yeux, dans ces battements de cƓur s’ rĂ©vĂ©lation que le blond venait de faire Ă  son Ă©pouse la fit avoir un rire, qu’il jugea nerveux. MĂȘme s’il espĂ©rait secrĂštement une rĂ©action de joie sincĂšre, il savait pertinemment au fond de lui que ce ne serait pas le cas. Il connaissait Sydonnie, il se doutait que cette perspective n’allait pas la rĂ©jouir de prime abord. Surtout, dans l’état actuel des choses. Mais peut ĂȘtre, avec le temps et l’acceptation, elle prendrait la nouvelle beaucoup mieux, il l’espĂ©rait en tout cas. Pour l’heure, il l’observait se relever, il observait sa rĂ©action, son ressenti. Il s’était lui aussi quelque peu relevĂ©, n’ayant plus la tĂȘte qui reposait sur l’oreiller. Il se tenait assis sur le lit. - Notre royaume ne se meurt pas. Enfin
 Les choses vont mal, je ne peux pas dire le contraire
 Mais il y a encore de l’espoir. La preuve, les Dieux ne sont pas contre nous. Cet enfant est un cadeau de la part de Serus, j’en suis convaincu. »Il essayait de la rassurer, en mĂȘme temps que lui. Bien sĂ»r que tout cela le faisait Ă©normĂ©ment cogiter aussi. La peur d’élever un enfant dans ce monde apocalyptique, la peur qu’il leur soit arrachĂ© Ă  quelques jours de vie, si bien sĂ»r la grossesse parvient jusqu’à son terme. Tant de questions qui resteraient sans rĂ©ponse, pour le moment. - C’est aussi une immense incertitude pour moi. Mais les Dieux ne nous auraient pas offert le privilĂšge de crĂ©er la vie, s’ils nous en jugeaient pas dignes. Je crois en toi et je crois encore en nous. J’imagine que ça ne sera pas facile pour toi. Mais tu n’es pas seule. »Il se releva un instant, ne sachant pas rĂ©ellement de quoi elle avait besoin, de temps pour accepter ? Lui le savait dĂ©jĂ  depuis qu’elle Ă©tait au temple, il avait eu plusieurs jours pour accepter et se faire Ă  l’idĂ©e. Cet enfant qu’il avait tant dĂ©sirĂ©, il Ă©tait Ă  quelques mois de faire enfin sa connaissance, de devenir pĂšre. Oui, il le voulait, plus que tout maintenant. Transmettre sa connaissance et son nom Ă  sa descendance, en faire trĂšs certainement le nouvel hĂ©ritier de la famille. Cela lui tenait Ă  cƓur, savoir qu’il laisserait une trace de son passage sur le royaume et la pĂ©rennitĂ© de sa lignĂ©e. Cet Ă©tat de fait Ă©tait encore plus parlant Ă  prĂ©sent que son pĂšre n’était plus de ce monde. - J’imagine que ton ventre est encore plat parce que c’est encore rĂ©cent. Mais la prĂȘtresse a Ă©tĂ© formelle. Peut ĂȘtre aussi ceci explique qu’elle Ă©tait tant aux petits soins pour toi, outre le fait qu’elle t’apprĂ©cie. »Il se rapprocha d’elle, ne souhaitant plus rĂ©tablir cette distance qu’il avait causĂ©. Il a dit qu’il serait lĂ , il n’était pas le temps de fuir. La citĂ© a Ă©tĂ© fort endommagĂ©e, il y a beaucoup Ă  reconstruire. Et pas seulement niveau matĂ©riel. Attaquer derriĂšre les remparts de la ville, c’était un gros coup
 La population est touchĂ©e. Mais comme toujours, elle saura se relever, grĂące Ă  l’entraide, au soutien, aux soins. Ce n’est pas la premiĂšre bataille qu’on perd, tu le sais aussi bien que moi. Mais l’humanitĂ© n’a pas dit son dernier mot. » Il vint alors poser doucement la main sur son ventre, qu’il mit Ă  nu au prĂ©alable. Il caressa sa peau, ce ventre contenait dĂ©sormais une autre petite vie, malgrĂ© le mal, malgrĂ© comme elle le disait, les cicatrices qui le recouvraient. Tu en es bien la preuve. Je pense que c’est la meilleure chose qui pouvait nous arriver, qui nous soudera. Acceptes-tu toi aussi d’y croire avec moi ? » Il plongea son regard bleutĂ© dans celui de sa femme, il reflĂ©tait un espoir et une envie sincĂšre. Mais il n’y parviendrait pas seul. Il fallait qu’elle accepte. Ta vie aussi, forcĂ©ment, va en ĂȘtre impactĂ©e. Je parle surtout de ton travail. Tu sais, je ne veux pas ĂȘtre cet Ă©poux trop possessif et t’interdisant tout un tas de choses. Je ne t’empĂȘcherai pas de retourner Ă  la caserne. Mais j’insiste sur le fait qu’il est pour l’heure beaucoup trop tĂŽt pour le faire, tu n’es pas encore complĂštement guĂ©rie. Puis, il faudra bien Ă©videmment freiner le rythme, ne pas prendre de risques inconsidĂ©rĂ©s et... » Il s’emballait, il prenait dĂ©jĂ  ses responsabilitĂ©s Ă  cƓur. Il Ă©tait protecteur aprĂšs tout, c’était dans son tempĂ©rament. Enfin, on verra, on avisera, ensemble. Tu ressentiras certainement les choses au fur et Ă  mesure de l’avancĂ©e
 Tu sauras certainement mieux que moi quoi faire. » Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum Salut Ă  tous, notre site d'apprentissage du français, vous propose aujourd'hui quelques textes pour rendre hommage Ă  une personne dĂ©cĂ©dĂ©e, nous vous proposons dans cet article des exemples d'expressions et de rĂ©dactions qui vont vous aider Ă  rĂ©diger un texte touchant pour rendre hommage Ă  une personne dĂ©cĂ©dĂ©e. Nous vous prĂ©sentons des textes bien choisis Ă  utiliser pour exprimer son amour et sa tristesse envers une personne dĂ©cĂ©dĂ©e. Texte pour rendre hommage Ă  une personne dĂ©cĂ©dĂ©e - Exemple n°1 Tu Ă©tais un homme d’un genre bien Ă  toi et ta chaleureuse prĂ©sence donnait un sens Ă  ma vie. Tu Ă©tais mon ami, tu Ă©tais mon amour, bien plus, tu Ă©tais mon mari. Pour tout ceci, je te dis merci. MĂȘme aprĂšs 
.. ans d’absence, jamais je n’oublierai tous les bons moments que nous avons passĂ©s ensemble, car le vide que tu as laissĂ© ne sera jamais Je ne cesserai de t’aimer, car je sais qu’un jour nous serons Ă  nouveau rĂ©unis; cette fois ce sera pour l’éternitĂ©. ➄ Texte pour rendre hommage Ă  une personne dĂ©cĂ©dĂ©e exemple n°2 " Lorsque j’ai appris le dĂ©cĂšs de Feu mon MaĂźtre le Professeur ..........., l’émotion m’a envahie tellement tant de souvenirs m’ont liĂ©e Ă  ce vĂ©nĂ©rable monument de l'enseignement du français. Je l’ai vu pour la premiĂšre fois dans son bureau. Il m’a reçue gentiment en tant que enseignante stagiaire. Il incarnait en sa personne la simplicitĂ© du grand et la sagesse du maĂźtre. Il m’avait marquĂ©e comme tant d’autres, par son enseignement instructif et sĂ©duisant. Le professeur ........... Ă©tait et reste dans la rĂ©tine de notre mĂ©moire." Texte pour personne dĂ©cĂ©dĂ©e - Exemple n°3 VoilĂ  dĂ©jĂ  
.. ans que tu nous as quittĂ©s pour un monde d’amour et de paix. Et depuis ton dĂ©part, nous avons tous rĂ©alisĂ© combien nous pouvions t’aimer. Chaque jour tu occupes une place de choix dans nos coeurs. Avec ce regret, celui de ne pas t’avoir dit assez souvent "Papa,je t’aime”, nous savons qu'un jour nous aurons tous la chance de nous reprendre... et peut-ĂȘtre de te connaĂźtre un peu mieux. D'ici lĂ , veille sur nous tous et n'oublie pas de nous prĂ©parer notre place ! Nous t’embrassons trĂšs fort. Texte pour personne dĂ©cĂ©dĂ©e - Exemple n°4 Adieu Je viens te dire adieu, toi que j’aimais Je viens te remettre Ă  Dieu, Ă  jamais Rejoins tous ceux que nous avons aimĂ©s Tous ceux qui nous ont dĂ©jĂ  quittĂ©s Tu es parti, nous ne te verrons plus Ton rire, ton sourire seront souvenirs Nos cƓurs pleurent l’inconsolable douleur En dĂ©posant ces gerbes de fleurs DĂ©sormais tu es parti, adieu Mes yeux te chercheront dans les cieux Pour toujours tu seras dans nos cƓurs Aide-nous Ă  ce que la joie demeure La vie a dĂ©cidĂ© de ton dĂ©part Et je dois te dire au revoir Je t’ai aimĂ© et je te remets Ă  Dieu. ➄ Phrases Ă  utiliser pour rendre hommage Ă  une personne ➔ Un des hommes les plus ÉclairĂ©s, les plus nobles, les plus gĂ©nĂ©reux. ➔ Ce grand homme Ă©tait un bon homme et le meilleur des hommes. ➔ Je disais hier que la perte d'un tel confrĂšre Ă©tait pour nous un deuil de famille. ➔ Il est toujours difficile de rĂ©sumer la vie d’un homme en quelques lignes. ➔ Une vie aux services des autres ne l’a pas empĂȘchĂ© de rester trĂšs attentif et proche des siens. Il a Ă©tĂ© un pĂšre et un grand pĂšre attentif. ➔ Sa joie Ă©tait de voir que ses enfants avaient trouvĂ© leur chemin et construit leur propre famille. ➔ Cet hommage revĂȘt pour moi une signification particuliĂšre. ➔ Le plus bel hommage que nous puissions rendre Ă  cette personne, c’est de nous montrer digne de son legs. ➔ C'est un plaisir pour moi de vous rendre hommage. Et voilĂ  tout ce que vous pouvez savoir dans notre site pour apprendre Ă  rendre hommage Ă  une personne dĂ©cĂ©dĂ©e en français! cette fiche de vocabulaire va surement vous aider Ă  rendre hommage Ă  une personne dĂ©cĂ©dĂ©e. Il est temps Ă  prĂ©sent de consulter nos autres fiches de vocabulaire pour dĂ©couvrir d’autres lexiques utiles. Articles similaires Texte pour ma meilleure amie Formules de remerciements

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