1 MalgrĂ© le temps qui passe, tu restes dans nos cĆurs. 2. Que tous ceux qui lâont connu et aimĂ© aient une pensĂ©e pour lui en ce jour. 3. Vous qui nous aimez au-delĂ de ce monde, aidez-nous Ă suivre le sillon que vous avez tracĂ©. 4. Une annĂ©e sâest Ă©coulĂ©e. Le temps nâefface pas la tristesse de la sĂ©paration, et le vide que ton
PrĂ©senterĂ©guliĂšrement pour le concours du samedi, tu finissais toujours sur le podium au classement fĂ©minin. Il y a quelque chose de plus fort que la mort, câest la prĂ©sence des absents dans la mĂ©moire des vivants. Lorsque nous mettrons nos deux pieds dans le cercle pour pointer, nous aurons toujours une pensĂ©e pour toi.
9AoĂ»t 2010. #1. Il y a des occasions ou des dates spĂ©ciales ou l absence de ceux qui sont partis trop tĂŽt est encore plus criante. Pour moi le ramadan fait partie de ces occasions spĂ©ciales ou je pense Ă ceux qui Ă©taient lĂ l annĂ©e derniĂšre ou il y a quelques annĂ©es mais qui ne sont plus lĂ . Chaque ramadan, je ne peux m empĂȘcher de
15 mai 2020 : Une pensĂ©e pour # Azouani rachid â â Ăa fait six ans que tu nous a quittĂ© cher pĂšre, que tu nous a laissĂ© un immense vide quâon arrive jamais Ă combler. Ta gentillesse, ta gĂ©nĂ©rositĂ©, surtout ton humour nous manqueront Ă jamais. Repose en paix cher pĂšre, nous pensons Ă vous, toi et notre regrettĂ©e MĂšre Ă chaque instant.
Tues toi. Ce que nous étions l'un pour l'autre, nous le sommes toujours. Donne-moi le nom que tu m'as toujours donné. Parle-moi comme tu l'as toujours fait. N'emploie pas un ton différent. Ne prend pas un ton solennel ou triste. Continue à rire de ce qui nous
SeigneurJĂ©sus, toi qui as acceptĂ© de faire la vĂ©ritĂ© jusquâĂ en perdre ta vie, prends pitiĂ© de nous. Seigneur JĂ©sus, toi qui as remis ta vie avec confiance entre les mains du PĂšre, prends pitiĂ© de nous. Seigneur JĂ©sus, toi qui as su consoler tes amis au-delĂ de ta propre souffrance, prends pitiĂ© de nous.
Sujet Madame D nous a quittĂ© Dim 06 Jan 2008, 20:46. Madame D Ă©tait une dame qui habitait la maison de retraite oĂč je travaillait avant, j'avais gardĂ© l'habitude d'aller la voir rĂ©guliĂšrement. La derniĂšre fois que je lui avais rendu visite, elle Ă©tait embĂȘtĂ©e, le savon de Marseille que son fils lui avait apportait ne sentait pas le
LeDJ mixe des airs que nous aimons bien, qui nous mettent l'ambiance, nous nous levons, et sur Une soirée comme nous en partageons tant d'autres depuis des semaines. Nous sommes la team, nous nous attablons, puis nous commandons, on a nos habitudes. Le DJ mixe des airs que nous aimons bien, qui Editer l'article Suivre ce blog Administration Connexion + Créer
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Le monde autour sâest effondrĂ©, Je me sentais seul, toi le monde nâa aucun sens, Ma voix nâest plus que silence, Mes yeux se brouillent , mon cĆur sâarrĂȘte, Comme le calme avant la mâas apportĂ© bonheur, joie, Moi le plus heureux dans tes bras, Cette dĂ©cision tâappartiens, Sache que sans toi je ne suis je vois le jour se lever, Ma premiĂšre pensĂ©e va vers toi, Quand jâirais un soir me coucher, Un sommeil, Ăternel Ma derniĂšre pensĂ©e sera pour toiJe tâaime Ă la folie ma chĂ©rie A lire Ă©galement une belle lettre dâamour Ă la fille que jâaime sms Je tâaime Ă envoyer Ă une femmeModĂšle de Sms pour dire je tâaime Ă la femme de sa fille avec un message dâamour message sms Ă©crit avec de doux mots dâamour poĂ©tiques Est une belle dĂ©claration dâamour Ă une femme magnifique Te dire je tâaime avec respect et sincĂ©ritĂ© Te dire je tâaime et lâeffet que tu me fais Reçois tout mon affection sincĂšre. Je tâaime et de cela je suis fierQue ce message sms dâamour touche ton coeur Que ce texto sentimental fasse notre bonheur Je te love dâun amour intense qui rime avec toujours Je tâaime Ă la folie, pour la vie et sans dĂ©toursJe tâembrasse et te fait pleins de bisous par smsPoĂšme tu me manques Ă la femme de sa vieModĂšle de message pour dire tu me manques Ă une fille qui est loin de nous ou qui nous a dâamour pour dire tu me manquesPoĂšme dâamour Ă la personne que jâaime et qui est loin de moi Mon amour, reçois ces petits mots romantiques et pense Ă moi Tu es loin de mes yeux mais tout contre mon coeur Tu me rends heureux et fais chaque jour mon bonheurTon retour sera pour moi la fĂȘte des sentiments Mes je tâaime inonderont ton petit coeur de joie Entre toi et moi, la fidĂ©litĂ© est un doux serment BĂ©bĂ©, tu me manques, nuit et jour je pense Ă toiCe petit message dâamour te dit que je tâaime Ă la folie Ce tendre texte romantique est une dĂ©claration amoureuse Mes messages sms te disent que tu me manques jour et nuit Mes textos tâĂ©crivent quâavec toi ma vie est si heureuseMon amour, malgrĂ© la distance entre nous deux, je te reste fidĂšle Mon amour, tu es loin de moi et tu me manques tellement Toi et moi, nous sommes faits pour vivre ensemble un amour Ă©ternel Toi et moi, chĂ©ri, nous sommes les plus beaux des amants Je tâembrasse tendrement⊠Je tâaime pour toujours dâun amour pardon Ă la femme de sa vie pour se rĂ©concilierMessage dâamour pour se rĂ©concilier aprĂšs une dispute ou une sĂ©paration de poĂšme dâamour Ă©crit aprĂšs une sĂ©paration pour dire Ă la personne qui nous a quittĂ©s quâon lâaime toujours. ModĂšle de texte poĂ©tique pour le retour de lâĂȘtre aimĂ©. Lettre dâamour pour une rĂ©conciliation amoureusePoĂšme dâamour sĂ©paration, texte pour se rĂ©concilierMon amour, pour te dire je tâaime je voudrais te couvrir de fleur Mon amour, pour te dire je tâaime je voudrais ouvrir ton cĆur Ecrire chaque jour un petit poĂšme romantique et de douceur Ecrire chaque nuit de la poĂ©sie sentimentale dâun doux rĂȘveurOn sâest aimer comme on se quitte, passionnĂ©ment et amoureusement Une rupture dâamour empli nos cĆurs de nostalgie et de regrets Je tâaimais, je tâaime et je tâaimerai Ă la folie, tu les sais heureusement Quand tu es partie mon cĆur des larmes de dĂ©sespoir a saignĂ©Mon bĂ©bĂ©, je voudrais te dire les paroles dâamour dâun homme heureux Mon bĂ©bĂ©, je voudrais tâĂ©crire des mots dâamour ĂȘtre un amant victorieux Nous deux, on pourrait recommencer notre belle histoire dâamour Nous deux, on pourrait transformer nos gestes dâamitiĂ© en veloursQue ce poĂšme dâamour Ă©crit Ă lâencre de mes peines ouvre les portes de ton cĆur Que cette belle lettre dâamour Ă©crite sur une page vierge ouvre la porte du bonheur Je tâaime, soyons homme et femme, un beau couple libre et amoureux On sâaime, on sĂšme des messages romantiques pour ĂȘtre heureux Ă deux âŠHamoudiModĂšle de lettre de rupture amoureuse Ă une filleBelle lettre dâamour de rupture pour une sĂ©paration amoureuseMon amour,Je ne sais pas comment te le dire alors jâai dĂ©cidĂ© de te lâĂ©crireâŠNotre histoire dâamour touche Ă sa fin. Nous avons vĂ©cĂ» ensemble de merveilleux moments dâamour, de partage, de fraternitĂ© et aussi dâ dĂ©cidĂ© de te quitterâŠMes sentiments amoureux pour toi se sont transformĂ©s. Ils ont quittĂ© le monde de lâamour pour rejoindre celui de lâamitiĂ©. Le problĂšme nâest pas que je ne tâaime plus mais plutĂŽt que je tâaime lettre de rupture sonne la fin de notre histoire dâamour mais aussi, je lâespĂšre, le dĂ©but dâune belle et intense histoire dâamitiĂ© entre deux ĂȘtres qui se sont aimĂ©s, respectĂ©s de la plus belle des histoire dâamour a Ă©tĂ© un poĂšme. Une histoire romantique et Ă©rotique faĂźte de poĂ©sie. Elle Ă©tait parfaite. Tu es ma plus belle dĂ©claration dâamourâŠComme le dit la chanson Les histoire dâamour finissent mal en gĂ©nĂ©ral. Ma chĂ©rie serons-nous capables dâĂ©chapper Ă la gĂ©nĂ©ralitĂ© en transformant notre amour en sais que tu voulais que lâon se marie, que lâon ait des enfants fruits de notre amour, fruits de notre mariage. Je lâai longtemps espĂ©rĂ© aussi. Mais je sais aussi que les sentiments dâamour se lassent un jour et quâil faut savoir se quitter avant. Un mariage qui se serait terminĂ© en divorce tâaurait fait souffrir⊠Et je ne veux pas que tu ne sais pas si tu vas accepter cette sĂ©paration, cette rupture. Comme disent les adols il faut savoir casser » avant de se blesserâŠQuand on aime il faut savoir partir⊠Mon amour, je te quitte⊠Tu vas me manquer⊠Restons amis⊠Je tâaime comme une frĂšre, un amiâŠ.Celui qui tâa tant aimĂ©e⊠Auteur HamoudiBeau poĂšme dâamour pour elle lui dire Je tâaimePoĂšme pour lui dire Je tâaime avec des mots romantiques et tendres mots dâamourCombien de lettres dâamour mâas tu envoyĂ©es Depuis que nos chemins se sont croisĂ©s ? Jâai tant reçu de beaux poĂšmes sensuels Tes jolis mots avaient les couleurs cielAujourdâhui je prends ma plume pour tâĂ©crire Combien je tâaime, câest avec mon coeur Que mes mots sâenvolent vers mon bonheur Mon bonheur câest toi, câest vrai je peux le direTu mâas appris lâĂ©criture, fais dĂ©couvrir la poĂ©sie Les phrases rĂ©sonnent mieux sur une feuille Un jour jâĂ©crirai un livre, jây glisserai les lettres Dâamour, celle de mon amant et qui sais peut-ĂȘtreQuand tu lâouvriras tous mes mots dâamour SâĂ©vaderont pour rejoindre ton coeur pour toujours Je tâoffre mon livre, celui de ma vie, mon bien aimĂ© En espĂ©rant que tous mes mots pourront sâĂ©vaderPoĂšme Je tâaimerai toujours Tu es lâamour de ma vieModĂšle de lettre dâamour Je tâaimerai toujours Ă envoyer Ă la femme de sa vie ou Ă une fille quâon aime et qui veut nous amour,Tant que mes yeux des larmes rĂ©pondront, des heures passĂ©es sans toi Ă te regretter, mes sanglots et mes soupirs rĂ©siteront, quand ta voix jâentendrai, pour me rĂ©conforter !Ne me laisse pas si longtemps trop loin de toi, seule, mon corps reste au hasard, ne peux-tu pas lui rendre sa part ? Ta tendre moitiĂ© ne mâappartient tâelle pas ?Contentons nous lâun de lâautre tout en se rassurant, ni les tempĂȘtes et ni les tornades ravageuses, ne pourront disjoindre chacun de nos instants, Laissons au dĂ©sir son aise envieuse !Car mes bras, toujours, seront Ă toi accolĂ©s, comme le lierre de lâarbre encerclĂ©, et je graverai sur le tronc nos noms et nos amours, rien ne les effacera, ils riment avec toujours !Originale lettre dâamour sensuelle Ă une fille quâon aimeExemple de Lettre dâamour Ă envoyer Ă une femme que lâon aime et dĂ©sire. Mots dâamour sensuels dâun homme Ă une dĂ©claration dâamourAvec mes lĂšvres jâaime te rĂ©veiller Parcourir ton corps de mille baisers Faire monter doucement le dĂ©sir Et sous mes doigts ta peau frĂ©mirJâaime sentir encore une fois Ton dĂ©sir sâaccentuer Alors que tes mains de soie Doucement veulent me choyerAttisons nos corps, nos Ăąmes Vers une danse charnelle Embraser encore la flamme Pour que nos corps se mĂȘlentCherchons Ă incendier sous lâĂ©treinte Nos corps et sâarquer de plaisir Se susurrer des longues plaintes Se crĂ©er peu Ă peu notre empireSâĂ©panouir enfin dans la moiteur salĂ©e De nos corps repus et essoufflĂ©s. Epuiser jusquâĂ la derniĂšre goutte dâamour Et vivre sans limite la voluptĂ© dâamour Ă la femme de sa vieBelle Lettre dâamour Ă la femme de ma vie pour lui dire je tâaime avec les plus beaux mots dâ chĂ©rie dâamourJe suis enfiĂ©vrĂ© de toi, mon doux et tendre oiseau des Ăźles, toi qui mâas fait dĂ©couvrir cet archipel inconnu quâest lâamour Je nâai quâune envie me coller contre toi, goĂ»ter, savourer ta tendre peau si douce. Me faire dorloter par toi, ma douce et petite dĂ©esse plume est chaque jour davantage, dĂ©pendante de ton souvenir. Jâai un besoin absolu et vital de ce visage qui me sourit dans la clartĂ© du matin, heureuse, comblĂ©e nâai point lâintention de vivre dans mon seul souvenir, il est morose et si fade, Ă la longue, Ă vrai dire. Pareil Ă un malade sans remĂšde jâerre dans les volutes vaines des imaginaires plaisirs. Ton ombre voluptueuse plane sur chacun de mes jours. Je ne peux que me rappeler que de prĂ©sence si douce, si rassurante, si fĂ©minine. Ressasser ces souvenir dâhier me pĂšse, me fait languir, et finalement me perd. Car rien ne vaut ta douce voix, caressante et enfantine, tes mains si pleines de mille attentions, si gĂ©nĂ©reuses, si prĂ©sence incarnĂ©e est mon unique remĂšde, petite colombe, parfois en cage, mais toujours si altĂšre. Jâaspire encore et encore et encore Ă te voir, voilĂ donc mon unique espoir. Tu es mon soleil se levant sur les dunes du dĂ©sert. LâĂ©cho du souffle si puissant, balayant, les angoisses Tu es le torrent de plaisirs qui fait se lever en moi, lâhomme qui sommeille, et ardemment te dĂ©sire.AprĂšs ces beaux textes romantiques un message bon weekend romantique et souhaiter une bonne nuit Ă son amour et un bon dimanche avec humour Ă une fille ou une femme que lâon aime.
Sydonnie de RivefiĂšreSergenteSujet [AbandonnĂ©] Reconstruction pour la citĂ©e, mais pas seulement [Roland] Sam 5 Oct 2019 - 1151 8 mai 1166 â â âLa douleur Ă©tait devenue une habitude, une compagnie de vie, une partenaire dâun jeu malsain qui animait rĂ©guliĂšrement la totalitĂ© de son ĂȘtre. La sergente nâĂ©tait devenue plus que lâombre dâelle-mĂȘme, une ombre qui se laissait petit Ă petit plonger dans les abysses des regrets, de la culpabilitĂ©. Sa survie, elle ne lâa tenait quâĂ cette prĂȘtresse aux yeux envoĂ»tants, quâĂ cet acharnement sur sa personne nuit et jour, quâĂ toutes les nombreuses tentatives de soins qui se relevaient chaque fois un Ă©chec lamentable. Cependant, ce jour, celle qui avait le pouvoir de propager la parole des dieux avait dĂ©cidĂ© quâil Ă©tait grand temps de lâaccompagner jusquâĂ son Ă©poux. Ătrangement, la nouvelle nâavait pas semblĂ© apporter le moindre rĂ©confort de la main armĂ©e du dĂ©sormais Roi, non, craignait-elle de nâĂȘtre quâun poids, un vulgaire poids. Sydonnie ne câĂ©tait plus rĂ©ellement exprimĂ©e, la parole semblait lâavoir quittĂ©, alors la clerc parlait bien souvent pour deux. Comme convenu avec le comte, la mĂšre dâune progĂ©niture Ă venir ne fut pas informĂ©e quâelle portait la vie. Les symptĂŽmes sâaccentuaient pourtant, mais restait-elle convaincue que la mort ne tarderait pas Ă lâemporter. Il Ă©tait rare de la voir ainsi, le mot abandonner nâavait jamais fait partie de son vocabulaire, pour autant, trop de morts, trop de catastrophes, trop de fange avaient semble-t-il eu raison de son optimisme et la plus forte de ses croyances la vie reprenait toujours le dessus sur la mort. - Reposez-vous, câest tout ce qui importe » souffla la voix douce de la petite dame, elle nâavait pas obtenu de rĂ©ponse, comme bien souvent derniĂšrement La plaie est moins intensive aujourdâhui, je ne vais pas y toucher. La mĂšre de votre Ă©poux la lavera Ă lâeau salĂ©e demain matin, je reviendrai pour ma part dans lâaprĂšs-midi. » Les yeux inquiets, dâun bleu perçant avaient presque suppliĂ©s la clerc de ne pas partir, de ne pas la laisser dans ce lit trop grand pour elle, lit dâune chambre qui ne lui appartenait pas rĂ©ellement Ă ses yeux. La pression des doigts de la gradĂ©e sâĂ©tait presque immĂ©diatement fait ressentir sur la main de la prĂȘtresse, qui, dans un premier temps surprise ne sut pas comment rĂ©agir, avant de lui offrir un sourire comprĂ©hensif. Prenant un instant pour rĂ©flĂ©chir Ă ce quâelle semblait percevoir, la prĂȘtresse se contenta dâĂȘtre rassurante - Votre Ă©poux sera lĂ , la comtesse de RivefiĂšre aussi, câest votre famille dĂ©sormais, câest avec eux que vous devez ĂȘtre. Pour les soins, si cela vous inquiĂšte, je passerai plusieurs fois par jour, mais vous devez rester ici encore un temps, le moindre dĂ©placement vous Ă©puisera plus que de raison et pour le reste, faites confiance Ă la TrinitĂ©, tout va sâarranger. »Ne souhaitant pas davantage sâĂ©terniser, elle sâĂ©clipsa, laissant la rescapĂ©e dans cette solitude qui lui plaisait autant quâelle la haĂŻssait. Descendant les marches avec une lenteur prĂ©occupĂ©e, elle sâarrĂȘta un instant, avisant celui qui Ă©tait responsable de ce dĂ©placement un peu trop hĂątif Ă son goĂ»t âmĂȘme si elle avait rĂ©ussi Ă repousser lâensemble de plusieurs jours- celle Ă ses cĂŽtĂ©s, plus ĂągĂ©es lui semblait ĂȘtre sa mĂšre, aussi, effectua-t-elle une rĂ©vĂ©rence maĂźtrise, un sourire agrĂ©able sur les lĂšvres. Prenant une lĂ©gĂšre inspiration, elle sâautorisa une prise de parole, un rĂ©sumĂ© dâune situation quâelle se voulait ĂȘtre moins alarmante bien quâencore prĂ©occupante. - Madame la comtesse, monsieur le comte. Madame votre Ă©pouse se repose, elle ne souhaite pour lâinstant ne pas ĂȘtre dĂ©rangĂ©. » une information quâelle avait traduite sans avoir la certitude de lâexactitude de sa traduction Je viendrais plusieurs fois par jour rĂ©aliser ses soins et lâaider Ă prendre un bain lorsquâelle en sera capable. Son Ă©tat sâamĂ©liore, mĂȘme si⊠câest loin encore dâĂȘtre rassurant. » elle se pinça les lĂšvres avisant celle qui Ă©tait mĂšre et dĂ©sormais veuve Madame, votre compagnie lui ferait sans aucun doute le plus grand bien, la votre aussi monsieur mĂȘme si je ne doute pas une seconde de vos occupations. » elle inclina poliment la tĂȘte Je reviendrais dans la journĂ©e. »Elle sâĂ©clipsa sans plus attendre, sans trop attendre, ce nâĂ©tait pas Ă elle dâannoncer ou dâamorcer les conversations. Tout du moins, le pensait-elle, la porte se referma simplement et derriĂšre ce claquement ce fut un Ă©trange silence qui planait dĂ©sormais dans la demeure. Tout du moins dans la chambre de celle qui devait se reposer et qui pourtant se trouvait debout, immobile. Sydonnie dĂ©taillait le lieu avec cette colĂšre inexpliquĂ©, ce besoin de hurler, de pleurer, de renverser le moindre objet qui pourrait se retrouver entre ses doigts. La RivefiĂšre ne voulait pas ĂȘtre lĂ , non, elle aurait voulu ĂȘtre dans sa maison, dans sa chambre, lĂ oĂč les odeurs ne lui semblaient pas Ă©trangĂšres, lĂ oĂč elle se sentirait plus Ă mĂȘme dâexprimer cette tristesse dĂ©vorante. Sâappuyant contre la fenĂȘtre, sâenroulant dans un drap chaud, elle avisa lâextĂ©rieur avec lâĂ©trange sensation de ne plus faire partie de ce mĂȘme royaume. Au loin pouvait-elle percevoir encore le drame et les souvenirs qui en dĂ©coulaient. Ne se pardonnait-elle pas son incapacitĂ© Ă sauver lâensemble du royaume, des amis, une presque fille. Sa luciditĂ© nâĂ©tait pas complĂštement revenue, non, mais elle Ă©tait dĂ©jĂ plus Ă mĂȘme de tenir une conversation. Avisant encore cette fenĂȘtre, fut-elle surprise de voir deux sergents passer le seuil de la porte, fut-elle surprise dâentendre la main frapper sur la porte dâentrĂ©e. Non, jamais elle nâaurait souhaitĂ© revoir des collĂšgues dans cet Ă©tat, jamais. La porte sâĂ©tait ouverte et devant une rĂ©vĂ©rence parfaitement maĂźtrisĂ©e, les deux hommes sâĂ©taient exprimĂ©s âseule la prĂ©sentation pouvait diffĂ©rencier en fonction de qui ouvrait la porte- - Monsieur le comte, madame la comtesse, mademoiselle, nous sommes les sergent Malorot et Outrant, nous venons partager nos sentiments de tristesse avec la sergente et lui rapporter des affaires. » un des deux hommes sembla gĂȘner, avisant ajoutant en direction du comte Monsieur de RivefiĂšre, nous avons reçu une commande de la sergente ce jour⊠» il se racla la gorge Nous avons supposĂ© quâelle vous Ă©tĂ© destiné⊠» lâhomme dâarmes dĂ©gaina une Ă©pĂ©e longue Ă une main, dont la lame semblait briller avec le reflet du soleil, un serpent enroulĂ© le pommeau avec que son rangement Ă©tait gravĂ© Ă lâensemble des Trois dieux. Le long de la larme de chaque cĂŽtĂ© la devise de chaque famille, RivefiĂšre et dâAlgrange. Une lĂ©gĂšre quinte de toux, conscient que la situation Ă©tait Ă©trange, les deux hommes dâarmes avaient fini par confier lâensemble Ă la domestique âet ou Ă celui qui rĂ©cupĂ©rait lâensemble- des rapports, lâĂ©pĂ©e, Ă©galement celle de Sydonnie, des petits prĂ©sents de ses subalternes et surtout, surtout, les affaires de son prĂ©cieux ami disparut et celle dâAnne, celle qui aurait du partager la vie du couple plus longtemps. - Nous ne vous dĂ©rangeons pas plus longtemps, sachez nĂ©anmoins que nous allons passer rĂ©guliĂšrement. Votre Ă©pouse est hĂ©roĂŻque, certainement pas autant que vous, mais les faits dâarmes rĂ©alisĂ©s⊠Serait-elle une grande perte si la milice ne pouvait plus la compter parmi ses rangs⊠Pourriez-vous lui faire passer le message ? Nous donner des nouvelles⊠» Ils inclinĂšrent la tĂȘte avant de disparaĂźtre, câĂ©tait Ă la fois Ă©trange pour des hommes dâadmettre la qualitĂ© dâune femme devant un noble, Ă©trange de presque sous-entendre quâil ne fallait pas prendre de mauvaises dĂ©cisions⊠Le royaume Ă©voluait grandement, lâĂ©vĂ©nement du couronnement aussi dramatique soit-il appuyĂ© sur cet Ă©tat de fait⊠Maintenant, tout Ă©tait une nouvelle fois Ă reconstruire. A lâĂ©tage, la noiraude observait les deux collĂšgues sâĂ©loigner et prise de cette colĂšre folle contre elle-mĂȘme, contre les dieux, contre le royaume entier avait dĂ©butĂ© sa dĂ©molition de la piĂšce. Chaque fois que son bras sâactivait pour balancer un objet contre le mur, la porte, une nausĂ©e la prenait, un vertige, chaque fois chutait-elle sur le sol, refusant de laisser sâĂ©chapper la moindre larme et si lâensemble de ses lancĂ©es ne semblaient pas voler plus loin quâun minuscule mĂštre devant elle, ce ne fut que quand la porte sâouvrit et au mĂȘme instant que le plus violent des envois fut rĂ©alisĂ© et que celui oĂč celle qui sây trouvait due recevoir le fameux objet. Relevant les yeux, perdus, assis au milieu de cette piĂšce quâelle commençait Ă dĂ©tester, elle dĂ©tailla la silhouette qui venait de manquer de peu de se faire assommer, murmurant simplement - Ce nâĂ©tait pas toi que je visais » que visait-elle justement ? Ăa va⊠jâallais me recoucher⊠» DerniĂšre Ă©dition par Sydonnie de RivefiĂšre le Sam 23 Nov 2019 - 1059, Ă©ditĂ© 1 fois Roland de RivefiĂšreComteSujet Re [AbandonnĂ©] Reconstruction pour la citĂ©e, mais pas seulement [Roland] Lun 14 Oct 2019 - 2220 Roland, assis dans le salon un verre Ă la main, se souvenait les paroles de la prĂȘtresse qui soignait son Ă©pouse, elles trottaient dans sa tĂȘte. Il comprenait leur sens, bien sĂ»r. Acceptait-il pour autant ? Pas encore. Il avait besoin de temps. Mais la soigneuse lui avait fait comprendre que du temps, il nâen aurait peut ĂȘtre pas. Les jours de sa bien-aimĂ©e Ă©taient peut ĂȘtre comptĂ©s. Il Ă©tait passĂ© la voir au temple, son Ă©tat semblait encore incertain. Elle Ă©tait Ă©galement fragilisĂ©e par cette grossesse, quâelle ignorait toujours. Il avait demandĂ© Ă la religieuse de ne rien dire Ă personne pour le moment, encore moins Ă la principale concernĂ©e. Tant quâelle Ă©tait dans ce terrible Ă©tat et loin de lui, il prĂ©fĂ©rait taire la nouvelle. Le blond aux yeux clairs avait tant espĂ©rĂ© que cette nouvelle voie le jour. Mais il imaginait son annonce diffĂ©rente, trĂšs diffĂ©rente. Il lâavait appris alors quâon lui disait Ă©galement que sa femme Ă©tait entre la vie et la mort, quâelle lui rĂ©vĂ©lait Ă©galement un terrible secret. Ce nâĂ©tait pas le moment rĂȘvĂ© et cela ternissait le moment, qui se voulait joyeux. Il se trouvait Ă prĂ©sent tiraillĂ© entre plusieurs Ă©motions, câĂ©tait dĂ©jĂ le cas avant les aveux, mais lĂ , tout devenait si compliquĂ©, les souvenirs dansaient dans son esprit et sâamusaient Ă le rendre presque fou. Seul lâalcool parvenait Ă faire taire son ressenti pendant un temps. Ce secret, il fallait maintenant apprendre Ă vivre avec. Il aurait prĂ©fĂ©rĂ© lâignorer, ne jamais ĂȘtre au courant de cela⊠Serena sâĂ©tait elle aussi bien gardĂ©e de le lui dire. Il comprenait Ă prĂ©sent cette histoire de pacte de sang quâelles avaient rĂ©alisĂ© toutes les deux. CâĂ©tait en ce temps bien au-delĂ quâune simple amitiĂ©. Il nâaurait jamais dĂ» passer outre. MĂȘme sâil sâest Ă©nervĂ© et fĂąchĂ© avec Sydonnie sur le moment, puis le lendemain avec sa sĆur, il ignorait encore la partie majeure de lâaffaire. Elles sâĂ©taient quand mĂȘme bien moquĂ©es de lui. Les deux femmes qui comptaient le plus dans sa vie, hormis sa mĂšre, quel outrage⊠Les autres Ă©vĂšnements et la peur dâune mort imminente avait balayĂ© lâacte. Mais il revenait Ă prĂ©sent, il se le prenait en plein visage. Sydonnie avait Ă©tĂ© rapatriĂ©e enfin au manoir. Elle vivait sous le mĂȘme toit que lui, mais ils se comportaient presque en Ă©tranger. Il prenait de ses nouvelles auprĂšs de la prĂȘtresse, quant Ă lâavancĂ©e des soins et de son Ă©tat, il passait la voir lorsquâelle Ă©tait endormie, il restait parfois quelques instants Ă la regarder dormir. LĂ oĂč il pouvait la contempler, se rendre compte Ă quel point elle comptait pour lui, sans avoir besoin de parler, sans explications, sans disputes Ă craindre. Car de toute façon, il savait que des tensions ne seraient sĂ»rement pas bonnes pour elle ni pour lâenfant quâelle portait. Il entendit un bruit de porte Ă lâĂ©tage, il se leva alors, se dirigeant vers lâescalier. La prĂȘtresse signalait que Sydonnie ne voulait pas recevoir de visite. Il la laisserait se reposer si tel Ă©tait son souhait, peut ĂȘtre fuyait-elle aussi une confrontation ou quâelle lui en voulait⊠Pourtant, il faudrait bien quâils parlent. Laisser passer les jours, sans un mot, ne ferait quâamplifier le malaise. - Merci pour votre aide. » RĂ©pondit-il de maniĂšre assez solennelle. Il lui Ă©tait reconnaissant de tout ce quâelle faisait pour sa femme. Et aussi rassurĂ© de savoir que son Ă©tat sâamĂ©liorait. Seulement, il trouvait parfois ses prises de position et ses conseils un peu trop familiers. Il nâavait pas lâhabitude de cela. En dâautres circonstances, il aurait trouvĂ© une formulation polie pour la remettre Ă la place qui Ă©tait la sienne. Mais sans doute son absence de beaucoup de paroles et son attitude froide et distante faisaient dĂ©jĂ bien le travail. Et quâelle se contentait de passer outre, tranchant tout de mĂȘme de son Ă©tait plus morose et de plus mauvaise humeur, il essayait donc de prendre sur lui, en ayant conscience de cela. La petite prĂȘtresse ne cherchait pas Ă mal loin de lĂ , mais il supportait difficilement quâon lui dicte ce quâil avait Ă faire. Je peux aller la voir, Roland. Si tu... » - Non, laissez la. » Coupa le comte. Laissons la dormir, mĂšre. Jâirai la voir plus tard, seul. » Ajouta-t-il avec moins de calme fit alors de nouveau place dans la demeure, avant que celui-ci ne soit troublĂ© par le bruit de la porte dâentrĂ©e. Margareth, la domestique, avait appelĂ© le maĂźtre de maison. Il se dirigea alors vers la porte, aprĂšs que la domestique lâait averti de quoi il retournait. Deux sergents sâĂ©taient dĂ©placĂ© Ă leur domicile, pour prendre des nouvelles et dĂ©poser des affaires personnelles. La domestique prit les prĂ©sents et les affaires, Roland sâoccupa des Ă©pĂ©es. Il observa celle qui avait Ă©tĂ© faite pour lui un instant, avant de reporter son attention sur les deux hommes, afin de les remercier. Ils ajoutĂšrent eux aussi un petit mot, Ă lâattention de son Ă©pouse. - Je lui transmettrai, merci messieurs. Mais ne comptez pas revoir madame de RivefiĂšre trop rapidement. Elle a besoin de repos. »Il disparut de lâouverture de la porte, suite Ă ces quelques mots. Margareth se chargerait du reste. Il Ă©tait bien conscient que les personnes lâapprĂ©ciant Ă la caserne aimerait avoir de ses nouvelles, la voir et quâelle retrouve rapidement le chemin du travail. Mais dans son Ă©tat, il en Ă©tait totalement hors de question. Il la savait tĂȘtue parfois et savait aussi combien son mĂ©tier et sa carriĂšre comptaient pour elle. Mais prendre des risques et se fatiguer alors quâelle tenait encore difficilement stable sur ses pieds et quâen plus elle portait un enfant, câĂ©tait totalement dĂ©raisonnable. Le comte de RivefiĂšre demanda ensuite Ă Margareth de lâaccompagner, câĂ©tait le moment de rejoindre la chambre oĂč devait se reposer son Ă©pouse. Il prit soin de regarder de plus prĂšs lâĂ©pĂ©e et de la ranger soigneusement avec celle de Sydonnie. Mieux valait peut ĂȘtre pas apporter dâarmes tranchantes dans la piĂšce, il ne savait pas trĂšs bien encore comment il allait ĂȘtre reçu !Et visiblement, il ne se trompait pas. Il dĂ» faire un Ă©cart et failli renverser un vase posĂ© sur une Ă©tagĂšre Ă cĂŽtĂ© de lui. Un objet venait de foncer droit sur lui, lancĂ© par la femme qui, normalement, aurait dĂ» ĂȘtre allongĂ©e en cet instant. Au lieu de cela, elle se trouvait lĂ debout, au milieu de la piĂšce, lâair furieux et contrariĂ©. La piĂšce Ă©tait parsemĂ©e de divers objets, plus ou moins cassĂ©s. Pas de bris de verre, heureusement. Mais il semblerait avoir eu une scĂšne de combat ici⊠Assez troublant. Roland se retourna vers la domestique, qui Ă©tait restĂ©e derriĂšre lui dans le Posez tout cela sur la commode ici et laissez nous je vous prie Margareth. »La petite domestique sâexĂ©cuta rapidement et quitta les lieux sans demander son reste. Dans un mĂȘme temps, Sydonnie avait prit la parole. Plus que ses mots, ce fut son expression qui le brisa, Ă lâinstant oĂč il posa son regard clair sur son visage. Elle semblait en proie Ă une rĂ©elle tendresse. Il fut instantanĂ©ment attristĂ© par ce regard qui en disait long, ce regard qui lâavait dĂ©jĂ touchĂ© Ă plusieurs reprises. Il se rendait compte Ă cet instant, quâindĂ©niablement il lâaimait toujours, il ferait tout pour la protĂ©ger elle, avant tout. Il se dirigea alors vers elle, doucement. - JâespĂšre bien que tu ne me visais pas, je suis venu en paix. » Tenta-t-il de plaisanter, mĂȘme sâil en avait pas rĂ©ellement le cĆur. La prĂȘtresse mâa dit que ton Ă©tat sâamĂ©liorait un petit peu. Je me doute que tu manques dâactivitĂ© physique, dâoĂč ton entraĂźnement au lancer de divers objets, je suppose ? Je nâen parlerai pas Ă ma mĂšre, je pense quâelle y tient un peu Ă ses bibelots... » Il lui sourit, sâapprochant davantage, esquissant un geste vers elle. Il prit sa main dans la sienne, caressa son visage de lâautre, en venant lentement dĂ©poser un baiser sur ses lĂšvres. MĂȘme si ça me rassure de te voir debout, jâaimerai en effet que tu retournes au lit, sâil te plaĂźt⊠Ne joue pas avec ta santĂ©. Te perdre nâest vraiment pas quelque chose que jâenvisage. » Il lâaccompagna alors au lit, au moins pour lâasseoir, puis il reporta son regard vers la commode. Il sâen approcha afin de lui apporter les divers paquets. Deux sergents sont passĂ©s pour prendre de tes nouvelles, je nâai pas retenu leur nom. Mais ils semblaient bien te connaĂźtre et apprĂ©cier tes qualitĂ©s. Ils ont dĂ©posĂ© cela pour toi. » Il lui dĂ©posa les diffĂ©rents paquets sur le lit. Et ton Ă©pĂ©e aussi, je lâai rangĂ©e⊠Ainsi que⊠la mienne. Elle est vraiment magnifique et bien travaillĂ©e, lâidĂ©e me plaĂźt beaucoup, merci pour ça. »Il la laissait Ă©videmment rĂ©agir Ă lâensemble des informations et au contenu des divers paquets, lui laissant ce petit moment de dĂ©couverte, sâĂ©cartant un peu vers la fenĂȘtre. Sydonnie de RivefiĂšreSergenteSujet Re [AbandonnĂ©] Reconstruction pour la citĂ©e, mais pas seulement [Roland] Sam 26 Oct 2019 - 1834 â â âImmobile, la noiraude dĂ©taillait celui qui sâapprochait, avant de dĂ©tourner le regard pour suivre les mouvements de la domestique qui disparaissait Ă son tour de la piĂšce. DisparaĂźtre, voilĂ bien une chose qui traversait rĂ©guliĂšrement lâesprit embrumĂ© de la jeune femme, sans quâelle nâose vĂ©ritablement ni le formulĂ© auprĂšs de son mari, ni mĂȘme de sa prĂȘtresse. Affaiblie, Ă©puisĂ©e, la dĂ©sormais de RivefiĂšre ne semblait pas rĂ©ellement comment se positionner ni se comporter auprĂšs de Roland, de cette demeure et de ce nouveau titre. PropulsĂ© par blessure, mise en Ă©chec et mat par les dieux eux-mĂȘmes avait-elle la dĂ©sagrĂ©able sensation quâils se jouaient tous dâelle, sâamusaient-ils comme ils pourraient le faire avec une poupĂ©e de chiffons, un pantin fait de bois. Le soupir qui avait fini par sâĂ©chapper de ses lĂšvres devait en dire long, tout comme cette excuse sincĂšre, celle qui Ă©voquait le fait quâelle ne voulait aucunement le blesser, le toucher. Il Ă©tait lĂ , alors que derniĂšrement son absence Ă©tait plus soulignable que sa prĂ©sence, lui en voulait-elle sans aucun doute pour ça Si la prĂȘtresse le dit » il Ă©tait juste devant elle, Sydonnie semblait le redĂ©couvrir, comme pour la premiĂšre fois avec cette Ă©trange Ă©motion, cette Ă©trange sensation Tu mâexcuseras auprĂšs de ta mĂšre je ferais rempla⊠» elle nâen ferait rien, câĂ©tait lui dĂ©sormais, lui qui gĂ©rait lâensemble de ses biens Si tu le permets, Ă©videmment. » Docile, voilĂ bien une chose dont la noiraude nâĂ©tait pas habituĂ©e, voilĂ bien une chose qui devait encore justifier ses Ă©tats dâĂąme, cette difficultĂ© dâadaptation. Convaincue quâelle allait mourir, en avait elle-mĂȘme presque fini par se satisfaire avant de devoir faire face Ă sa survie. Les dieux avaient un drĂŽle dâhumour, oui, qui ne semblait dĂ©finitivement pas partager par la dĂ©sormais comtesse. Reprenant quelques couleurs, lâensemble avait semblĂ© disparaĂźtre alors quâun contact chaud se faisait sur sa main, puis sur ses lĂšvres, alors quâun simple geste de tendresse sembla lui faire oublier tout le reste. Son cĆur, son esprit avaient fait silence, le temps de lâĂ©change aussi furtif pouvait-il ĂȘtre. Signe, confirmation que Roland de RivefiĂšre Ă©tait bien trop important dans sa vie, Ă©tait-elle devenue sans aucun doute, dĂ©pendante Ă cet homme qui ne devait pas le rĂ©aliser. - Je pensais que tu me fuyais⊠» un murmure, un aveu, sans quâelle ne comprenne rĂ©ellement la raison Je ne tâen veux pas, je comprends⊠voir son Ă©pouse dans un mauvais Ă©tat⊠» en rĂ©alitĂ©, Sydonnie lui en voulait pour son absence, tout en lâacceptant et le comprenant Je sais que tu es occupĂ©. » Oui, elle savait. Jamais lâidĂ©e dâune autre femme ne lui avait traversĂ© lâesprit, Sydonnie nâĂ©tait dĂ©finitivement pas Ă©pouse jalouse, bien au contraire, avait-elle promis de lui faire confiance, promesse quâelle respectait avec application. Nouveau soupir, alors quâelle accepte de retourner sâinstaller au bord du lit, alors que ses prunelles avisent avec cette inquiĂ©tude nouvelle son mari. La dame semble avoir besoin de rĂ©ponse, sans parvenir Ă formuler les questions sans oser le questionner sur la vĂ©racitĂ© de ses souvenirs, des discussions. Il sâĂ©tait Ă©loignĂ©, sans quâelle ne cherche Ă le retenir, avisant simplement les mouvements avec une curiositĂ© mĂȘlĂ©e Ă de lâincomprĂ©hension, aucun paquet ne fut ouvert, simplement dĂ©placĂ© et dĂ©posĂ© Ă cĂŽtĂ© dâelle. Un instant son visage exprima cette confusion Ă©trange alors quâil Ă©voquait son Ă©pĂ©e, aurait-elle apprĂ©ciĂ© sans aucun doute lâavoir auprĂšs dâelle, la regarder, ressentir lâillusion dâĂȘtre encore en mesure de lâutiliser. LâĂ©vocation de son cadeau lui tira une grimace, elle aurait prĂ©fĂ©rĂ© que cela se dĂ©roule autrement, ĂȘtre en mesure de lui offrir, pouvoir aviser sa surprise, son plaisir ou non plaisir⊠Elle eut de nouveau la sensation quâon le lui avait retirĂ©, privĂ© de ce droit et ce ne fut quâun fin sourire un peu forcĂ© qui se dĂ©clara comme unique rĂ©ponse. Ă peine revenu que le comte sâĂ©loignait dĂ©jĂ , laissant cette Ă©pouse seule sur son lit, avec sa fatigue et ses multitudes de questions. Ses lĂšvres avaient fini par sâentrouvrir, avant de se refermer dans cette rĂ©signation dĂ©sagrĂ©able. Attrapant un paquet, elle eut un dĂ©but de courage et dâenvie de lâouvrir, avant de lâabandonner de nouveau sur le bas-cĂŽtĂ©, avant de se glisser sur le lit, dos contre le lit, les yeux rivĂ©s vers un plafond dont elle connaissait par cĆur la moindre imperfection. - Si tu ne lâaimes pas⊠» petit pincement au cĆur Tu peux lâoffrir en don au temple, ou Ă la milice⊠Cela sera utile » dĂ©tournait-elle la conversation, sans oser affronter directement la future tempĂȘte Je ne mâen offusquerai pas, je ne mâoffusquerai pas non plus de ton absence si câest ce que tu dĂ©cides, je sais que tu es⊠occupĂ©. »Elle se rĂ©pĂ©tait, oui, mais parce quâelle se refusait de rentrer en conflit et semblait pour la premiĂšre fois ĂȘtre dans la capacitĂ© de le rassurer, dâĂȘtre celle qui Ă©tait forte, non, Ă son tour la noiraude avait besoin quâon prenne le relais, sans le demander, sans forcĂ©ment le montrer. Avait-elle la sensation dâĂȘtre une miette parmi un tas de poussiĂšre, tout juste bonne Ă ĂȘtre soufflĂ©e par le vent. Ce fut finalement cette Ă©trange constatation qui lâobligea Ă sortir de cette rĂ©serve, toujours allongĂ©e sur le dos, les yeux se fixant dans la continuitĂ© de son regard sur le plafond. - Jâaimerai sortir Roland, jâĂ©touffe ici⊠Cette chambre nâest pas la mienne, je voudrais ĂȘtre dans notre chambre⊠» ou rentrer chez elle, dans sa maison NâĂ©tait-ce pas nos vĆux⊠Jâai lâimpression quâils sont si loin dĂ©sormais⊠sommes-nous amenĂ©s Ă nous comporter comme des Ă©trangers ? » et puis elle osa, elle osa sans rĂ©ellement le faire Je sais que tu ne pourras pas me pardonner, suis-je sans aucun doute indigne des Trois, de toi, sans quoi auraient-ils pu au moins mâaccueillir dans leur royaume, cela aurait sans aucun doute Ă©tĂ© plus simple pour toi. » CâĂ©tait tellement dur, mais tellement sincĂšre quâelle dĂ» faire des pauses pour terminer entiĂšrement ses phrases Tu es mon mari, jâai choisi de tâĂ©pouser, je tâai choisi⊠Et⊠» elle ne le regrettait pas une seule seconde, un seul instant Tu es la personne la plus prĂ©cieuse Ă mes yeux, je me suis engagĂ©e et je nâai jamais dĂ©rogĂ© Ă notre engagement depuis que nous sommes ensemble⊠»Cela ne la dĂ©douanait pas du reste, Sydonnie le savait, Ă©tait-ce moins douloureux de le formuler comme ça, dâespĂ©rer que tout nâĂ©tait pas brisĂ©, terminĂ©, balayĂ©. Silencieuse, aurait-elle pu se relever, venir chercher un peu de tendresse, mais cette crainte grandissante dâĂȘtre repoussĂ© avait raison de la totalitĂ© de son ambition, sa flamme avait fini par sâĂ©teindre, ne restait-il que cette colĂšre, cette incomprĂ©hension, cette rĂ©signation. - Je comprends » conclut-elle finalement la voix nouĂ©e par un chagrin quâelle ne sâautorisait pas Ă ressentir, exprimer Câest toi le dĂ©cisionnaire de toute façon » souffla-t-elle Si mon Ă©tat sâamĂ©liore je ne te ferai pas ombrage dans tes dĂ©cisions, laisse-moi juste au moins sortir un peu, je me ferais accompagner par la personne de ton choix⊠» elle avait fini par fermer les yeux Je ne suis pas certaine des compĂ©tences de notre prĂȘtresse⊠Elle dit que mon Ă©tat sâamĂ©liore, mais⊠jâai toujours des nausĂ©es, des douleurs et des nouvelles qui apparaissent⊠Jâai du mal avec des odeurs que jâapprĂ©ciais pourtant⊠Ne voudrais-tu pas faire venir un autre guĂ©risseur, juste au cas oĂč ? »â â â Roland de RivefiĂšreComteSujet Re [AbandonnĂ©] Reconstruction pour la citĂ©e, mais pas seulement [Roland] Mar 5 Nov 2019 - 1504 Faire remplacer les objets cassĂ©s, mĂȘme la mĂšre RivefiĂšre sâen moquait sans doute Ă prĂ©sent. Les choses nâavaient plus la mĂȘme valeur, mĂȘme les nobles en devenaient beaucoup moins matĂ©rialistes. La veuve avait perdu son Ă©poux, la vie Ă©tait devenue bien triste pour elle aussi. Il fit un geste, faisant comprendre Ă Sydonnie que tout cela nâavait plus vraiment dâimportance. Ce qui lâinquiĂ©tait davantage concernant sa mĂšre, câĂ©tait quâil la voyait dĂ©pĂ©rir de jour en jour, ne sachant pas quoi faire pour changer cela. Elle semblait se laisser mourir aussi, nâayant plus de goĂ»t Ă la vie, dĂ©jĂ en oubliant presque celle quâelle Ă©tait auparavant, puis en perdant une part dâelle mĂȘme, avec le dĂ©cĂšs du pĂšre de RivefiĂšre. Elle restait lĂ pour ses enfants, en nâĂ©tant plus que lâombre dâelle-mĂȘme. Voir sa mĂšre dĂ©pĂ©rir Ă ce point, se sentir impuissant Ă©tait douloureux pour Roland. Et ce, mĂȘme sâil nâavait pas rĂ©ellement eu dâaffection dans son enfance, quâelle Ă©tait bien trop occupĂ©e avec ses affaires et son rĂŽle. Son titre et son apparence avaient toujours comptĂ© plus que tout, quitte Ă cacher les sentiments, les Ă©motions et tout ce qui rendait une personne humaine et intĂ©ressante. Le blond aux yeux clairs avait Ă©tĂ© Ă©levĂ© ainsi, en apprenant Ă ne jamais montrer ce quâil ressentait, Ă devenir un homme trĂšs tĂŽt, Ă sâoccuper dâaffaires dâadultes qui ne le concernaient pas. Il avait appris Ă se forger cette image dâhomme fort et impassible. Depuis plusieurs mois, lâimage sâĂ©tait brisĂ©e, entraĂźnant presque sa chute. Il ne savait pas quoi faire de ce trop plein dâĂ©motions, il ne savait pas les gĂ©rer, il avait des problĂšmes avec les relations humaines et ne comprenait pas toujours les choses de la bonne façon. Pourtant, Ă ce stade, il ne rĂ©ussissait pas Ă en vouloir trop Ă ses gĂ©niteurs. Son pĂšre nâĂ©tait plus lĂ , il garderait nĂ©anmoins un profond respect pour lâhomme quâil Ă©tait, il a su tout de mĂȘme garder sa famille Ă lâabri. Et sa mĂšre, il lâaimait Ă©videmment et ne voulait pas la perdre Ă son comme la brune en face de lui, qui Ă©tait devenue son Ă©pouse. Comme il le lui avait dit, la perdre nâĂ©tait pas quelque chose dâenvisageable. Il avait besoin dâelle Ă ses cĂŽtĂ©s, de son soutien, de son appui. Il resterait fort, pour elle, il essaierait. Il lui en avait fait la promesse. Mais pourquoi avait-il lâimpression quâelle tentait de lui dire adieu, pourquoi avait-elle Ă ce point envie de renoncer Ă la vie, ne croyait-elle pas en un avenir possible ? Un avenir heureux, câĂ©tait difficile de lâimaginer, mais au moins essayer, faire en sorte que ce soit rĂ©alisable, ne pas renoncer Ă la vie. Elle acceptait de se poser sur le lit, simplement elle ne touchait pas aux paquets qui avait Ă©tĂ© apportĂ©s pour elle. La sergente semblait pensive, troublĂ©e. Il se doutait bien quâil Ă©tait difficile pour elle de rester au repos, mais il Ă©tait loin dâimaginer quâelle lui en voulait rĂ©ellement. Il avait essayĂ© de faire au mieux, de la protĂ©ger, de la tenir Ă lâĂ©cart. LâĂ©cart de quoi, lâĂ©cart de qui ? De son mĂ©tier ? De Serena mĂȘme ? Peut ĂȘtre bien. Il avait Ă©tĂ© vexĂ©, il ne savait pas trĂšs bien comment rĂ©agir Ă cela, peut ĂȘtre avait-il inconsciemment envie de la punir, en la retenant presque en otage ici, sans venir la voir. Lui laisser le temps de rĂ©flĂ©chir Ă ses actes. CâĂ©tait peut ĂȘtre un peu cruel dit comme cela, mais non forcĂ©ment prĂ©mĂ©ditĂ©. Il se laissait du temps et lui en laissait aussi. La rancĆur dâun homme Ă©tait difficilement palpable, sa rĂ©action assez alĂ©atoire et imprĂ©visible. Il avait des raisons lui aussi de lui en vouloir, mais il prĂ©fĂ©rait rĂ©agir Ă sa maniĂšre, en fuyant simplement. Ce qui expliquait son absence de ces derniers jours, alors quâil aurait dĂ» ĂȘtre Ă son chevet, plutĂŽt que de laisser la prĂȘtresse et sa propre mĂšre sâoccuper dâelle. Dâailleurs, Ă deux reprises, Sydonnie lui fit remarquer quâil devait ĂȘtre occupĂ©. Il commençait Ă connaĂźtre ses reproches, Ă les visualiser, dissimulĂ©s dans ses paroles. Oui, elle Ă©tait contrariĂ©e et lui en voulait pour son absence. - Ton cadeau me plaĂźt beaucoup, ne dis pas de bĂȘtises. Et je suis lĂ maintenant. »Elle Ă©tait allongĂ©e, il se rapprocha alors du lit, devant sây asseoir prĂšs dâelle. La laissant dire ce quâelle avait sur le cĆur. Cependant, il lâĂ©coutait, mais il ne comprenait pas oĂč elle voulait en venir exactement. Elle parlait de leurs vĆux de mariage, de leur engagement lâun Ă lâautre. Est-ce quâelle prenait son absence pour une volontĂ© de sa part de la quitter, de mettre des barriĂšres entre eux ? Il vint alors sâallonger Ă son tour, Ă cĂŽtĂ© dâelle, prenant sa main dans la sienne. - Jâavais juste besoin dây voir un peu plus clair, câest difficile pour moi de te voir dans cet Ă©tat, je ne peux pas te le cacher. Puis, oui tout ça a beaucoup pesĂ© dans ma tĂȘte. » Dans ce çaâ, il englobait beaucoup de choses, son Ă©tat de santĂ© Ă elle, celle de sa mĂšre, de Serena, lâhistoire avec Serena, cette invasion et ce quâil avait fait, la mort de son pĂšre et tant dâautres choses encore. Cela formait un tout, une explosion, un besoin de faire le vide, pour ne se concentrer que sur le principal. Puis, je suis revenu, comme dit, je suis lĂ maintenant. Je nâai pas lâintention de partir, de te quitter. »Puis cette phrase finale vint le chambouler Ă nouveau, ce malaise quâelle ressentait, bien sĂ»r, il savait maintenant dâoĂč cela venait. Il se devait de lui dire. - Je comprends parfaitement que tu aies envie de sortir, nous irons ensemble, jây tiens. Je veux ĂȘtre lĂ pour toi, pour nous. Tu sais que tu pourras toujours compter sur moi. » Il lui sourit, comprendrait-elle sa sincĂ©ritĂ©, son besoin de prĂ©sence, cette envie de la rassurer. Ils avaient encore des Ă©preuves Ă traverser, mais il ne la laisserait pas seule pour le faire. Je sais que je ne suis pas non plus lâĂ©poux parfait, jâai mes dĂ©fauts, je ne rĂ©agis pas toujours de la meilleure des maniĂšres. Je tâaime peut ĂȘtre dâune façon imparfaite, mais câest ma maniĂšre Ă moi de le faire. » Il passa la main sur le visage de la brune, venant parcourir dâun doigt son nez, le faisant glisser doucement vers ses lĂšvres. Puis vint lâembrasser de nouveau, appuyant plus longuement le baiser cette fois. Enfin, en rompant ce contact, rouvrant les yeux, il se releva quelque peu sur le lit, se tenant plus droit, appuyĂ© contre lâoreiller. Il ne lui faisait plus totalement face, mais restait attentif Ă sa rĂ©action. La prĂȘtresse est une trĂšs bonne soigneuse, elle a toute ma confiance. Ce qui explique tes nausĂ©es, tes malaises, câest⊠parce que tu es enceinte. Tu attends un enfant Sydonnie, notre enfant. »Lâannonce avait peut ĂȘtre Ă©tĂ© un peu directe, mais il nây avait pas mille façons de le dire. Il Ă©tait prĂšs dâelle, il pouvait lâaider Ă encaisser le choc que cela pourrait ĂȘtre pour elle. Il espĂ©rait tout de mĂȘme que ça lâa rende un peu heureuse, quâelle ne se braque pas. CâĂ©tait un cadeau des Trois, signe quâils avaient encore foi en eux, en leur couple et leur offrait la possibilitĂ© de devenir une famille. Est-ce quâelle se sentait prĂȘte pour cela ? Sydonnie de RivefiĂšreSergenteSujet Re [AbandonnĂ©] Reconstruction pour la citĂ©e, mais pas seulement [Roland] Jeu 7 Nov 2019 - 2219 â â âMaintenant. Le mot avait dĂ» se rĂ©pĂ©ter dans son esprit, comme une boucle dâincomprĂ©hension, comme un poignard qui sâenfonçait dans une plaie pour mieux en ressortir et y repĂ©nĂ©trer par la suite. AllongĂ©e, la sergente sâimmobilise dans le moindre de ses mouvements, se concentrant sur une respiration qui reste douloureuse, sifflante, presque dĂ©rangeante. Le bruit du plancher grinçant sous le poids du comte ne semble pas lâaffecter, tout du moins suscitĂ© suffisamment dâintĂ©rĂȘt pour la faire se redresser. Les yeux de celle qui est devenue comtesse reste fermĂ©s, les Ă©motions la submergeant Ă©tant un peu trop puissante, incomprĂ©hensible pour lui permettre de conserver son impassibilitĂ© habituelle, prĂ©fĂ©rait-elle comme bien souvent la fuite. Ses lĂšvres sâĂ©taient entrouvertes pour permettre une inspiration bruyante, alors que la silhouette masculine se retrouvait Ă ses cĂŽtĂ©s, que le corps dâhomme sâallongeait si proche de son propre corps. Un Ćil seulement avait fini par sâouvrir, afin de dĂ©taillant celui qui venait dâentrelacer ses doigts dans les siens, son cĆur sâĂ©tait inĂ©vitablement mis Ă battre plus fort, espĂ©rant que cette conversation quâelle redoutait autant quâelle Ă©tait nĂ©cessaire nâarrive vraiment. Maintenant. Oui, ce mot Ă©tait cruel, comme si elle pouvait effacer lâabsence, comme sâil pouvait provoquer le pardon. Je suis fidĂšle maintenant, est-ce que ça signifiait quâavant, lâerreur nâavait pas de valeur ? Je suis lĂ maintenant. Oui, maintenant. Serrant doucement sa main dans la sienne, conservant cette incertitude et de marche sur une corde raide suspendue dans le vide, lâancienne dâAlgrange ne savait trop quoi, dire, formuler sans avoir cette crainte au ventre de ne pas choisir les bons mots et de provoquer une nouvelle tempĂȘte. Attentive, Sydonnie ne pouvait quâentendre, traduire ce qui lui semblait ĂȘtre Ă la fois une perche de secours et une pelle pour creuser son propre trou, se mordant lâintĂ©rieur de la joue, elle sentit une nouvelle fois son ventre former un nĆud, alors quâune nouvelle nausĂ©e menaçait dĂ©jĂ de poindre. Sa derniĂšre phrase provoqua une vague de soulagement, si intense, quâelle avait fini par rouvrir les yeux pour le dĂ©tailler lui, cet homme quâelle avait choisi dâĂ©pouser, celui qui lui avait passĂ© la corde au cou et inversement. - Ce nâĂ©tait pas Ă©vident derniĂšrement⊠» souffla-t-elle sans rĂ©ellement oser, sans aller jusquâau bout Mais nous allons, reconstruire, ensemble, essayer, nâest-ce pas ? La comtesse, comment⊠comment elle avance ? »Sa main encercle davantage la sienne, ses doigts remontent le long de son avant-bras, alors quâelle sâest mise sur le cĂŽtĂ©, pour mieux lâaviser, le regarder. Doucement, elle sâapproche, tout en conservant cette distance imaginaire, ce mur qui semble encore prĂ©sent malgrĂ© les efforts mutuels du couple. Ses lĂšvres se pincent alors quâelle perçoit la paume de sa main sur sa joue, sa chaleur, ses paroles ne peuvent que la toucher, lui tirer ce sourire tendre, doux, amoureux. Naturellement les Ă©paules de la noiraude se roulent, se haussent puis retombent ou plutĂŽt frotte le tissu qui se trouve sous elle. Sortir, elle en rĂȘve dĂ©sormais, mĂȘme si ce nâest que pour ressentir un peu de chaleur, ou de fraĂźcheur, du vent et de la pluie. - Cela me ferait plaisir, oui, jâaimerais voir de mes propres yeux comment tout ça Ă©volue, pourrais-tu me raconter ? Comment vas Marbrume Roland, comment va notre citĂ© ? » Elle aurait pu lui demander, comme ils allaient eux, si ce vide, ce gouffre quâelle percevait finirait par se rĂ©sorber. Pour autant sa bouche Ă©tait venue capturer la sienne, chastement, tout en douceur. Ce fut tout, avant quâune nouvelle sĂ©paration sâinstalle quâil reste contre son oreiller rempli de plumes, pas complĂštement vers elle, pas complĂštement dos Ă elle. Si lâhĂ©sitation de se redresser avait du poindre, si un mouvement physique allant dans ce sens avait dĂ» se faire voir, tout fut rapidement anĂ©anti, absolument du tout, envolĂ©, balayĂ©, submergĂ© par un seul mot aussi irrĂ©aliste quâindĂ©finissable. Enceinte. La crispation Ă©tait rĂ©elle alors quâelle repoussait lâidĂ©e sans aucune hĂ©sitation. Comment pourrait-elle ĂȘtre enceinte, elle qui ne lâavait Ă©tĂ© jusque-lĂ , elle dont la mĂšre avait eu tant de difficultĂ© Ă avoir une fille, elle qui faisait partie de ceux maudits par Serus lui-mĂȘme dans lâart de la procrĂ©ation. Enceinte. Ce fut dâabord un rire, alternant entre humour sincĂšre et angoisse nerveuse parfaitement dissimulĂ©e. Enceinte. Comment une sergente pourrait lâĂȘtre, comment une femme passant la plupart de son temps une lame Ă la main pourrait lâĂȘtre. Comment Ă©tait-ce possible ?! Enceinte. LâĂ©cho se faisait de plus en plus violent, de plus en plus Ă©touffant, elle suffoquait sans mĂȘme en avoir conscience. Ce nâĂ©tait pas possible, pas envisageable, câĂ©tait trop tĂŽt simplement. Sa main avait abandonnĂ© la proximitĂ© de la silhouette de son mari, sa peau câĂ©tait mis Ă perler de sueur ou bien avait-elle la sensation dâavoir soudainement excessivement chaud. Le mariage Ă©tait encore si rĂ©cent, si⊠Son regard fixait ce plafond, vibrant, scrutant, se mouvant au grĂšs de rĂ©flexions quâelle ne formulait pas oralement. Il se trompait, il se trompait câĂ©tait une Ă©vidence et cherchait Ă se raccrocher Ă un espoir quâelle nâĂ©tait pas en mesure de lui offrir. Comment un enfant aurait-il pu survivre Ă lâattaque quâelle avait essuyĂ©e ? Comment le monstre aux mains recouvertes de sang pouvait-elle porter la vie ? - Roland, je viens de manquer de rejoindre le royaume des Trois » fit-elle pragmatique en se redressant dans une lenteur qui ne lui ressemblait pas Comment veux-tu, comment veux-tu quâun enfant survive Ă ce qui a manquĂ© de me faire succomber, comment⊠Comment veux-tu que je sois enceinte ? » et si câĂ©tait le cas, comment allait ĂȘtre lâenfant, lui qui avait dĂ©jĂ tant subit, sa blessure provoquerait-elle une contamination⊠ses sourcils se froncĂšrent, alors que sa respiration sâaccĂ©lĂ©rait dĂ©jĂ Ce nâest pas possible tu entends, ce nâest pas possible, nous nâavons pas beaucoup et⊠nous sommes mariĂ©s depuis peu⊠et tu es occupĂ© et je suis occupĂ© et ce royaume ce royaume se meurt etâŠ. Ce nâest pas possible. »Ce nâĂ©tait pas possible, câĂ©tait comme manquer soudainement dâart, comme ĂȘtre proche dâun feu brĂ»lant, comme se noyer en pleine mer. Elle sâĂ©tait redressĂ©e entiĂšrement fixant ce vide, ce mur avec une incomprĂ©hension poignante, avec un refus, une impossibilitĂ© de croire, dâaccepter. Tout semblait se mĂ©langer dans son esprit, inquiĂ©tude, rĂ©alitĂ©, refus, espoir et perdition. Puis cet Ă©trange sentiment de peur, de peur si profonde, si dĂ©routante, si grandissante. Puis cette question, pourquoi le savait-il ? Comment le savait-il ? Se trompait-il ? - Je sais, je sais Roland que câest ce que tu attends⊠ce dont tu as besoin, mais je doute que Serus se montre si gĂ©nĂ©reux aussi rapidement, je ne veux pas que tu sois déçu, nous avons dĂ©jà ⊠tant de choses Ă surmonter⊠Roland, ce nâest pas.. Regarde-moi, mon Ă©tat, mon ventre est plat, rempli de cicatriceâŠ. » â â â Roland de RivefiĂšreComteSujet Re [AbandonnĂ©] Reconstruction pour la citĂ©e, mais pas seulement [Roland] Lun 11 Nov 2019 - 2121 Il se doutait que les jours prĂ©cĂ©dents nâavaient pas Ă©tĂ© Ă©vidents pour elle. La difficultĂ© de ressentir cette douleur, cette blessure et ce repos forcĂ©, dur Ă accepter pour elle qui Ă©tait toujours trĂšs active. Il le comprenait trĂšs bien. Puis, elle Ă©tait aussi restĂ©e dans cette incomprĂ©hension, devant subir lâindiffĂ©rence de son mari. Alors quâil nâen Ă©tait rien, ce nâĂ©tait pas de lâindiffĂ©rence. Il avait eu ce besoin dâair, cette envie Ă©goĂŻste de prendre un peu de temps pour lui, pour rĂ©flĂ©chir. Il lâavait dĂ©jĂ fait dans le passĂ©, et cette maladresse avait dĂ©jĂ bien failli causer la fin de leur couple. Il nâavait, semblerait-il, pas vraiment compris la leçon. DorĂ©navant, les choses Ă©taient complĂštement diffĂ©rentes. Ils nâĂ©taient plus un jeune couple qui se tournait autour et surmontait mal les difficultĂ©s, quitte Ă tout envoyer valser. Non, ils Ă©taient devenus mari et femme devant les Trois. Il fallait rĂ©apprendre Ă communiquer, Ă se faire confiance, Ă avancer lâun avec lâautre, surtout pas lâun envers lâautre. Sur ce point, ils se rejoignaient tout Ă fait. - Oui, câest effectivement dans mes projets. » lui rĂ©pondit-il, dâune voix douce et rassurante. Il avait ce dĂ©sir dâavancer malgrĂ© tout, malgrĂ© les Ă©preuves. MĂȘme si les choses sont quelque peu diffĂ©rentes, parce que je me sens diffĂ©rent, pas Ă cause de toi. Mais⊠à cause de tout ça, tu sais⊠» Cette invasion et tout ce quâelle a causĂ©. Pour la comtesse, câest pareil, jâai lâimpression quâelle ne se remettra pas de la mort de mon pĂšre. Jâai beaucoup de mal Ă la voir dans cet Ă©tat, je ne la reconnais pas⊠Comme je ne me reconnais pas. »Il souffla cette derniĂšre phrase dâune voix trĂšs basse, lĂ nâĂ©tait pas le sujet, ce nâĂ©tait pas de lui dont il Ă©tait question. Puis de toute façon, il nâavait pas envie de sâĂ©tendre maintenant sur le sujet. Il avait envie dâĂȘtre lĂ pour elle, comme il lâavait dit, de sâoccuper de son Ă©pouse, comme il aurait dĂ» le faire dĂ©jĂ , sans la laisser durant plusieurs jours. Il espĂ©rait quâelle lui pardonnerait son manque dâattention. Ce nâĂ©tait plus seulement de la maladresse, comme par le passĂ©. Cette fois, il en avait Ă©tĂ© conscient, de cette absence. Il ne rĂ©pondit pas tout de suite Ă ses interrogations concernant la citĂ©. Il avait son idĂ©e en tĂȘte et lâinquiĂ©ter face au drame quâĂ©tait devenue cette partie close du goulot nâen faisait pas partie pour lâinstant. Il rompit ce silence par ce baiser quâil dĂ©posa lentement sur ses lĂšvres. Il aimait la façon quâelle avait eu de le regarder, de lui sourire. Il sentit Ă cet instant que la flamme nâĂ©tait pas Ă©teinte entre eux, quâil y avait toujours de lâespoir pour leur couple. Que pas Ă pas, peut ĂȘtre, ils sauraient reprendre le cours de leur vie, ensemble. Il Ă©tait parfois Ă©trange que deux ĂȘtres continuent dâĂȘtre liĂ©s lâun Ă lâautre, alors que tout ou presque, semble vouloir les sĂ©parer. Les personnes, les actes, la mort elle-mĂȘme. Mais ils avaient pour lâinstant tout surpassĂ©, il ne fallait pas laisser tomber maintenant, ne pas lĂącher. Leur amour Ă©tait encore prĂ©sent, dans cette Ă©tincelle dans leurs yeux, dans ces battements de cĆur sâ rĂ©vĂ©lation que le blond venait de faire Ă son Ă©pouse la fit avoir un rire, quâil jugea nerveux. MĂȘme sâil espĂ©rait secrĂštement une rĂ©action de joie sincĂšre, il savait pertinemment au fond de lui que ce ne serait pas le cas. Il connaissait Sydonnie, il se doutait que cette perspective nâallait pas la rĂ©jouir de prime abord. Surtout, dans lâĂ©tat actuel des choses. Mais peut ĂȘtre, avec le temps et lâacceptation, elle prendrait la nouvelle beaucoup mieux, il lâespĂ©rait en tout cas. Pour lâheure, il lâobservait se relever, il observait sa rĂ©action, son ressenti. Il sâĂ©tait lui aussi quelque peu relevĂ©, nâayant plus la tĂȘte qui reposait sur lâoreiller. Il se tenait assis sur le lit. - Notre royaume ne se meurt pas. Enfin⊠Les choses vont mal, je ne peux pas dire le contraire⊠Mais il y a encore de lâespoir. La preuve, les Dieux ne sont pas contre nous. Cet enfant est un cadeau de la part de Serus, jâen suis convaincu. »Il essayait de la rassurer, en mĂȘme temps que lui. Bien sĂ»r que tout cela le faisait Ă©normĂ©ment cogiter aussi. La peur dâĂ©lever un enfant dans ce monde apocalyptique, la peur quâil leur soit arrachĂ© Ă quelques jours de vie, si bien sĂ»r la grossesse parvient jusquâĂ son terme. Tant de questions qui resteraient sans rĂ©ponse, pour le moment. - Câest aussi une immense incertitude pour moi. Mais les Dieux ne nous auraient pas offert le privilĂšge de crĂ©er la vie, sâils nous en jugeaient pas dignes. Je crois en toi et je crois encore en nous. Jâimagine que ça ne sera pas facile pour toi. Mais tu nâes pas seule. »Il se releva un instant, ne sachant pas rĂ©ellement de quoi elle avait besoin, de temps pour accepter ? Lui le savait dĂ©jĂ depuis quâelle Ă©tait au temple, il avait eu plusieurs jours pour accepter et se faire Ă lâidĂ©e. Cet enfant quâil avait tant dĂ©sirĂ©, il Ă©tait Ă quelques mois de faire enfin sa connaissance, de devenir pĂšre. Oui, il le voulait, plus que tout maintenant. Transmettre sa connaissance et son nom Ă sa descendance, en faire trĂšs certainement le nouvel hĂ©ritier de la famille. Cela lui tenait Ă cĆur, savoir quâil laisserait une trace de son passage sur le royaume et la pĂ©rennitĂ© de sa lignĂ©e. Cet Ă©tat de fait Ă©tait encore plus parlant Ă prĂ©sent que son pĂšre nâĂ©tait plus de ce monde. - Jâimagine que ton ventre est encore plat parce que câest encore rĂ©cent. Mais la prĂȘtresse a Ă©tĂ© formelle. Peut ĂȘtre aussi ceci explique quâelle Ă©tait tant aux petits soins pour toi, outre le fait quâelle tâapprĂ©cie. »Il se rapprocha dâelle, ne souhaitant plus rĂ©tablir cette distance quâil avait causĂ©. Il a dit quâil serait lĂ , il nâĂ©tait pas le temps de fuir. La citĂ© a Ă©tĂ© fort endommagĂ©e, il y a beaucoup Ă reconstruire. Et pas seulement niveau matĂ©riel. Attaquer derriĂšre les remparts de la ville, câĂ©tait un gros coup⊠La population est touchĂ©e. Mais comme toujours, elle saura se relever, grĂące Ă lâentraide, au soutien, aux soins. Ce nâest pas la premiĂšre bataille quâon perd, tu le sais aussi bien que moi. Mais lâhumanitĂ© nâa pas dit son dernier mot. » Il vint alors poser doucement la main sur son ventre, quâil mit Ă nu au prĂ©alable. Il caressa sa peau, ce ventre contenait dĂ©sormais une autre petite vie, malgrĂ© le mal, malgrĂ© comme elle le disait, les cicatrices qui le recouvraient. Tu en es bien la preuve. Je pense que câest la meilleure chose qui pouvait nous arriver, qui nous soudera. Acceptes-tu toi aussi dây croire avec moi ? » Il plongea son regard bleutĂ© dans celui de sa femme, il reflĂ©tait un espoir et une envie sincĂšre. Mais il nây parviendrait pas seul. Il fallait quâelle accepte. Ta vie aussi, forcĂ©ment, va en ĂȘtre impactĂ©e. Je parle surtout de ton travail. Tu sais, je ne veux pas ĂȘtre cet Ă©poux trop possessif et tâinterdisant tout un tas de choses. Je ne tâempĂȘcherai pas de retourner Ă la caserne. Mais jâinsiste sur le fait quâil est pour lâheure beaucoup trop tĂŽt pour le faire, tu nâes pas encore complĂštement guĂ©rie. Puis, il faudra bien Ă©videmment freiner le rythme, ne pas prendre de risques inconsidĂ©rĂ©s et... » Il sâemballait, il prenait dĂ©jĂ ses responsabilitĂ©s Ă cĆur. Il Ă©tait protecteur aprĂšs tout, câĂ©tait dans son tempĂ©rament. Enfin, on verra, on avisera, ensemble. Tu ressentiras certainement les choses au fur et Ă mesure de lâavancĂ©e⊠Tu sauras certainement mieux que moi quoi faire. » Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
Salut Ă tous, notre site d'apprentissage du français, vous propose aujourd'hui quelques textes pour rendre hommage Ă une personne dĂ©cĂ©dĂ©e, nous vous proposons dans cet article des exemples d'expressions et de rĂ©dactions qui vont vous aider Ă rĂ©diger un texte touchant pour rendre hommage Ă une personne dĂ©cĂ©dĂ©e. Nous vous prĂ©sentons des textes bien choisis Ă utiliser pour exprimer son amour et sa tristesse envers une personne dĂ©cĂ©dĂ©e. Texte pour rendre hommage Ă une personne dĂ©cĂ©dĂ©e - Exemple n°1 Tu Ă©tais un homme dâun genre bien Ă toi et ta chaleureuse prĂ©sence donnait un sens Ă ma vie. Tu Ă©tais mon ami, tu Ă©tais mon amour, bien plus, tu Ă©tais mon mari. Pour tout ceci, je te dis merci. MĂȘme aprĂšs âŠ.. ans dâabsence, jamais je nâoublierai tous les bons moments que nous avons passĂ©s ensemble, car le vide que tu as laissĂ© ne sera jamais Je ne cesserai de tâaimer, car je sais quâun jour nous serons Ă nouveau rĂ©unis; cette fois ce sera pour lâĂ©ternitĂ©. â„ Texte pour rendre hommage Ă une personne dĂ©cĂ©dĂ©e exemple n°2 " Lorsque jâai appris le dĂ©cĂšs de Feu mon MaĂźtre le Professeur ..........., lâĂ©motion mâa envahie tellement tant de souvenirs mâont liĂ©e Ă ce vĂ©nĂ©rable monument de l'enseignement du français. Je lâai vu pour la premiĂšre fois dans son bureau. Il mâa reçue gentiment en tant que enseignante stagiaire. Il incarnait en sa personne la simplicitĂ© du grand et la sagesse du maĂźtre. Il mâavait marquĂ©e comme tant dâautres, par son enseignement instructif et sĂ©duisant. Le professeur ........... Ă©tait et reste dans la rĂ©tine de notre mĂ©moire." Texte pour personne dĂ©cĂ©dĂ©e - Exemple n°3 VoilĂ dĂ©jĂ âŠ.. ans que tu nous as quittĂ©s pour un monde dâamour et de paix. Et depuis ton dĂ©part, nous avons tous rĂ©alisĂ© combien nous pouvions tâaimer. Chaque jour tu occupes une place de choix dans nos coeurs. Avec ce regret, celui de ne pas tâavoir dit assez souvent "Papa,je tâaimeâ, nous savons qu'un jour nous aurons tous la chance de nous reprendre... et peut-ĂȘtre de te connaĂźtre un peu mieux. D'ici lĂ , veille sur nous tous et n'oublie pas de nous prĂ©parer notre place ! Nous tâembrassons trĂšs fort. Texte pour personne dĂ©cĂ©dĂ©e - Exemple n°4 Adieu Je viens te dire adieu, toi que jâaimais Je viens te remettre Ă Dieu, Ă jamais Rejoins tous ceux que nous avons aimĂ©s Tous ceux qui nous ont dĂ©jĂ quittĂ©s Tu es parti, nous ne te verrons plus Ton rire, ton sourire seront souvenirs Nos cĆurs pleurent lâinconsolable douleur En dĂ©posant ces gerbes de fleurs DĂ©sormais tu es parti, adieu Mes yeux te chercheront dans les cieux Pour toujours tu seras dans nos cĆurs Aide-nous Ă ce que la joie demeure La vie a dĂ©cidĂ© de ton dĂ©part Et je dois te dire au revoir Je tâai aimĂ© et je te remets Ă Dieu. â„ Phrases Ă utiliser pour rendre hommage Ă une personne â Un des hommes les plus ĂclairĂ©s, les plus nobles, les plus gĂ©nĂ©reux. â Ce grand homme Ă©tait un bon homme et le meilleur des hommes. â Je disais hier que la perte d'un tel confrĂšre Ă©tait pour nous un deuil de famille. â Il est toujours difficile de rĂ©sumer la vie dâun homme en quelques lignes. â Une vie aux services des autres ne lâa pas empĂȘchĂ© de rester trĂšs attentif et proche des siens. Il a Ă©tĂ© un pĂšre et un grand pĂšre attentif. â Sa joie Ă©tait de voir que ses enfants avaient trouvĂ© leur chemin et construit leur propre famille. â Cet hommage revĂȘt pour moi une signification particuliĂšre. â Le plus bel hommage que nous puissions rendre Ă cette personne, câest de nous montrer digne de son legs. â C'est un plaisir pour moi de vous rendre hommage. Et voilĂ tout ce que vous pouvez savoir dans notre site pour apprendre Ă rendre hommage Ă une personne dĂ©cĂ©dĂ©e en français! cette fiche de vocabulaire va surement vous aider Ă rendre hommage Ă une personne dĂ©cĂ©dĂ©e. Il est temps Ă prĂ©sent de consulter nos autres fiches de vocabulaire pour dĂ©couvrir dâautres lexiques utiles. Articles similaires Texte pour ma meilleure amie Formules de remerciements
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